dimanche 20 février 2011
L'impudente et D.H. Lawrence
Je veux bien me faire un café et discuter ici de littérature. En ligne, l'on brûle dans un instant statistique des années d'étude. Pourquoi pas ? Mais qu'est-ce qu'il nous reste pour le tête à tête ? Je ne pense qu'à respirer le même air que vous, à vous voir, mais j'apprends à communiquer tel un mandarin par des documents improvisés, à tournure. Et bien je suis en train de lire le dernier livre de D.H. Lawrence, qui n'est pas un roman. C'est un livre un peu à part. C'est une avancée qui peut percer jusqu'à plus loin que notre plus direct avenir. Il parle de l'Apocalypse. Je serai capable de battre notre invité cynique dans son terrain d'agression verbale : l'ère du Berceau, la New Age et tout ça. Parce que chez Lawrence, c'est encore dans son noyau. En même temps le livre est en soi une Poétique pour l'avenir. C'est bizarre que nous qui avons eu une éducation française, soyons si loin de la façon dont, d'ailleurs, les jeunes commencent à balancer la poésie. J'ai connu une blogueuse qui signe L'Impudente qui me rappelle beaucoup Alex (*), mais avec une autre ouverture, si je peux me permettre de les comparer.
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