jeudi 23 octobre 2014

Mangeur de feu (1)

Si des livres il y en a eu dans ma carrière, des manuscrits à la main, puis des fichiers de texte il y en a une grande quantité, mais souvent j’écris quand je commente ou chatte, malheureusement c’est tout un procès de dilution.

Il est peut-être question d’un nouvel état préalable à quelque chose d’autre, une préhistoire d’une Histoire. Et puis je suis déjà poussière, poudre universelle, salamandre. Allume chacun son esprit d’escarboucle.

Si ça commence à être recourant d’employer le fantastique (métaphysique comme pour l’alchimiste), cela serait exclusivement pour l’exercice de l’érudition.

Si j’ai commencé ainsi l’écriture d’un essai, vaut mieux le considérer poème.

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