vendredi 28 février 2020

d'autres nouveaux montages d'archive

Etant ces jours bloquée l'option de partage youtube je vous présente les liens des montages plus récents réunissant des fichiers récupérés (audio et visuelles ou moitié / moitié ) diverse dates
dont surtout le montage Sur Dante 2011, une autre mouture des diverses amorces prenant compte en vidéo du projet de livre ou essai intime édité en paperback
https://vimeo.com/394342924


lundi 24 février 2020

Las tentaciones de San Antonio, por Manuel Montero para Baltasar

doscientos setenta y cuatro 274

lakrama dvin dragashanwi

Tess Arranz traduite par Manuel Montero






Elle a été fondatrice du groupe pop de la Movida de Madrid "Los Zombis" dans les 80's, connus par une chanson "Groenlandia"
J'ai découvert son blog actuel en 2008 ou 2009 et peu après j'ai enregistrée une traduction performative des beaux poèmes brèves qu'elle écrivait alors, les dessins qui illustrent tournent aussi sur ces dates et sont réalisés à Paris

fresca sandía / extrait d UNUSUAL Sp FRIEND





Il existe un montage nommé UNUSUAL SPANISH FRIEND qui est long et qui prend compte de l'ensemble d'un livre d'art retouché avec dessin et collage, ici je vous fournit une version concentrée, plus courte et en vitesse (qui ne comprend pas donc une part de la bande audio, l'entretien entre Eleodora Nesúa et moi, ainsi que d'autres poèmes qui se voient abandonnés là-bas, dans la mouture complète) mettant l'accent sur le poème "y gustamos de nuevo la que fue fresca sandía", avec la voix d'Anel Mendoza (d'autres personnes figurent dans les portraits mais c'est long comme question)

la dominante orange a été corrigée

miettes jetees a l est parisien






les visuelles d'oeuvre plastique proviennent du film ou suite "Ideario" qui est en hispano
elles sont réaménagées et accompagnent des aphorismes (miettes) datant de 2008
montage donc francophone des detritus nourriciers d'une pensée inassumable

La poétesse Chao Su Cheng par Manuel Montero




traduction performative d'un poème de Chao Su Cheng réalisée autour de 2010-11 d'après l'édition maoïste espagnole de Marcela de Juan et jointe à des visuelles d'autour 2015 et 2019 avec quelques éléments d'atelier de peintre

baby i'm a bum Bissecta et Montero






this is the struggle of an internationalist poetry of the inner experience
made in France by Bissecta and Manuel Montero, around oriental influences and global wishes at the year of 2016

dimanche 16 février 2020

Le Nord

https://vimeo.com/387329637  INTRODUCCIÓN  MILITAR  (klossowskiana) en francés
por Eve Livet

https://vimeo.com/385956448  discurso de Laurent (HURLANTE NOVA) EN FRANCÉS

https://vimeo.com/338789702 segundo asalto al CAC


********WHERE IS MARINA VARGAS ?CENTRO POMPIDOU EN MALAGA, CAC, THYSSEN, SUPERHOTELES Y ESTADIOS DE FUTBOL PARA LA MAFIA FRANCESA Y MULTINACIONAL / TORTURAS A ECOLOGISTAS / FABRICACIÓN DE GRUPOS ARMADOS DE VOX EN LA POLICIA / FERNANDO FRANCÉS, ETC***************************************


vendredi 14 février 2020

Joyeux Saint Avalentin

Les guignols qui nous parlent par les haut parleurs s'étonnent de la haine quand ils font tout pour notre sécurité, nous surveillent, mettre tel ou tel type de police, tout contre ou carrément contre nous et glissent que leur intimité est intime pendant que la notre est la marchandise de leur police

https://vimeo.com/391574395

https://soundcloud.com/yung-beef/yung-beef-goa-fish-narc-san-valentin-sangriento?in=yung-beef%2Fsets%2Ftraumatismo-kraneoencefalico


Je regardais d’ici le portrait au pastel de toi endormie
Je me rendais compte que c’est en te voyant d’ici que je l’ai fait
Tu dormais un sourire aux lèvres, le visage détendu
La blancheur des draps, la blancheur du visage pourtant
n’étaient pas blanches au sens ou c’est blanc le pubis des femmes de sagesse
des louves divines qui chante la poésie de l’ancien classique Li Po décadent 
pas blanches comme le con ou vulve de jade blanc de l’antiquaire que je porte dans ma poche
pas blanches non plus comme la rude volupté du cul d’une nonne dénudée dans un saccage fantasmatique
ta couleur est l’or, et la couleur du dessin au pastel marron car l’or, privé des rayons du soleil
ne soit que la lumière des nuages le jour, par une fenêtre filtrés donne encore du blanc
avec le jaune sublime opalin du soleil il tourne la nuit en marron, poésie du quotidien
quand on a la force et la décision de l’amour et de l’art tout cela est beau
l’or est beau si l’on rêve et la peinture comme le luxe sont ivresse

donc alors on était à ce que le marron révèle dans l’or du corps le tournesol du paon 
que le psaume et le poème du Cantique de Salomon se passent dans l’épithalame
tout comme le regard sur le petit pastel qui doit se faire face â face couché devant lui
à son hauteur, pour voir l’or vert noirâtre des cheveux dans leur allure divine d’ange, de visage
même en dormant si le rêve y règne
l’on voit l’or du corps sourire dans l’ombre en surprenants marrons
des terres de Sienne, des terres vert vénitien, des noir sépia tel le noir de vigne ou la terre de Kassel 
des rouges vivant de joie mais â dominante marron tel le rouge vénitien
car Venise est Vénus, c’est la seule ville qui montre ouvertement sa planète

oui, les sourcils et le nez et le sourire des lèvres sont en rouge de Venise
les lignes des draps en noir de vigne, pour être aussi sévère eucharistie que le blanc campagnard
tout l’or entoure ton rêve au visage, gardant un souvenir de nacre pour le visage gris

et pourtant la bouche annonce la fleur de pavot rouge qui vite vient dans l’amour et la colère
le caractère indépendant si l’art est présent peut gagner l’or de l’amour sans besoin d’être riche en argent
les bijoux sont les instants sur un carton qui restent

mais j’avais parlé d’un abandon de la blancheur dans le sommeil de l’or
dans cette tendresse reptilienne des diplodocus préhistoriques qui font l’amour
leur tête est de tortue, leur cou de girafe, leur corps de cochon ou hippopotame, à queue de castor
dans l’affairement de leur copule je discerne plus où partent leurs têtes de tortue, sous le fouet de cygne du plaisir dimension éléphant ou encore baleine des lacs
la métamorphose de l’orfisme est l’humour de nos parfums, de dire sans rien faire, de dormir

Il Piacere de Gabrielle d’Annunzio avait plu â Guido Crepax, trotskyste
tout comme l’anarchiste marxiste Pier Paolo Pasolini prenait Ezra Pound pour maître en poésie
mon admiré théoricien Alessio Moretti formule comme point de passage ou pont de passage au fascisme ces fascinations, prenant pour départ Gilles Deleuze qui se serait trompé sur une dignité de fond de Nietzsche, par pure peur de voir la part de vrai folie qui décèlent ses passages antisémites répétés dans la Généalogie de la Morale ou dans L’Anthéchrist

la Poste est en grève
peut etre que le colis de gateaux de Noel de l'Espagne tardera plus, mais je suis fier de votre lutte, je m'en fous des gateaux (en plus ma maman n'a jamais compris que c'etait indigeste pour moi, du coup... je chercherai dans la petit marché plutôt le plat du jour et ça me fera marcher un peu) Bref, c'est vous, les travaillleurs, qui êtes en train de changer le monde, même les robots vont s'unir à la grêve (eux les robots dont parfois l'ardent désir est plus brûlant que le désir naturel lui-même, ont pourant une allégeance par rapport ne soit qu'à la logique, et le coeur est capable de plier la plus régressive des logiques à l'idée de bien, pour cella, parmi les révoltés, ne soit que par fatigue, je me situe finalement "humaniste"

mon petit amour, l’important ici, dans ce texte et montage de cinéma intime
n’est pas l’oeuvre à accomplir mais d’accomplir la vie
pas de produire à contre-coeur mais de faire de l’art pour prolonger un jour encore la vie
maintenant la commode position des amoureux qui bavardent entre caresses
qui tètent la chaleur du faganon à deux, le lait ou calostrum d’un soupir qui traverse le désert des images, le vide sidéral de la vie qui sort marcher, faire son chemin, comme nos images

l’intéressante approche d’une fantaisie usée et défoncée par la pornographie et la publicité et journalisme à sensation
celle du couple qui fait entrer les paparazzi dans leur lit même et tous les protocoles qui par l’art sont dévoilés
est-ce un homme qui tient la caméra, est-ce le trépied, regard froid de soi qui deviendra multiplié ou est-ce une amie ou voisine, un regard complice, qui tient la caméra devant Vénus et Adonis ? le sujet, je me souviens, était ce petit tableau de toi

ce pastel, et les livres de Murakami et d’autres auteurs japonais que tu lis le soir ou dans le train qui traverse la no-man’s land
je t’avais dit, c’est mon ami Laurent, vietnamien, qui a peut-être écrit les romans de Murakami, ou, comme c’est un nom de famille fréquent, c’est peut-être Mika, la céramiste de mon âge en Espagne, qui a un oncle écrivain, car elle s’appelle Murakami
c’est à cause de l’éléphant, tu m’as raconté l’histoire, même si j’ai pas lu le roman
je pense avoir la réponse au mystère de l’éléphant
car traversant la Seine en train depuis le pont j’ai vu Notre Dame
j’ai salué la Vierge, la Terre, l’eau de l’art qui imbibe la vie, l’éléphant, mémoire
pour aller voir notre amie, je te dirais, une autre fois, je gardais ta main d’enfant pour ce passage, tu étais dans ton monde et c’est bien

que la cathédrale brûle en cri de mère qui voit la police blesser ses enfants, logique
le feu est une sorte de logique, étant un élément, mais il est un dieu enfant, un lutin
et de Marie la femme de pierre elle n’a brûlé que la partie de l’architecte Violet le Duc
un lèche bottes de Napoléon III, elle reste une grande dame, Marie, notre mère à Paris
la Commune, c’est aussi elle, Kiki de Montparnasse, oubliée, c’est elle, la carte postale
froissée par la censure et trouvée plus tard par terre, c’est nous mêmes, même si moi

je suis le bourdon qui perore pendant qu’il élabore des pièces ou qu’il dort en ronflant

Juventud Sin Futuro (MBM A-LC & MM )

poética de la destrucción, banditismo y gran arte

de l'aube à tard / fototropismos

Psychédélie Chrétienne, récit critique francophone

L' Oeuf du Saint Esprit

mercredi 12 février 2020

2 frgts El Persiles

la Peinture sous la canicule

Ideario

Kalidasa / La beauté de Parvati

epreuve pour Orphée

desperate modern life

estudio de preludio a Nezahualcoyotl

LA LUNE D QUIXOTTE ET LES ARAIGNEES

El Destape, torero universitario

la cagnotte lacanienne

Des Dames Romaines

Dasein& Keter Malkut

mardi 11 février 2020

desperate modern life

une chanson faite à l'attention des potes punk australiens (Perth) de Dead Babies in Vomit

https://vimeo.com/390563855 j'ai mis du curcuma dans la nata liquida del cafe pour le rendre digerible et ça a fait pissser les voissins c'est pput etre radiocativ le curcuma pas la vache la vache est aigri par la torture humaine, c'est notre lot mais le curcuma vient de traverser les régions en guerre à hauteur de la ceinture flottante des têtes de femmes saudine esecutees j'ai pas peur de la grippe chinoise ils disent et je dis pas le contraire que ce sont les fruits de mer de Wuhan d'accord ils disent aussi que les animaux sauvages chassés pour usage magique ont répandu la peste je dis pas le contraire mais je suis un animal suavage

dimanche 9 février 2020

la cagnotte lacanienne




Charles Mopsik


19:55

Charles Mopsik

ed Verdier

traducción Zohar

editorial

estudio sobre género y cábala (puedo buscar el título)

y traducción de Abulafia

durante estos días de renacer del sueño de la Comuna de París, los franceses se han soltado a hablar y el fenómeno de las asambleas es ese sueño de nuevo

20:08

El Divino Narciso, de sor Juana Inés de la Cruz (precursora del feminismo pero además gran esteta del barroco gongorino en Méjico en el siglo XVII ) es un auto sacramental donde confluyen cábala (cita recurrente al Cantar de los Cantares) y un primer indigenismo teórico, siendo el lenguaje simbólico acerca del narcisismo

Octavio Paz, Alejandra Pizarnik

20:18

Maya Deren sobre el vudu de Haiti Divine Horsemen, ella era coreógrafa y escribió su libro para exponer el sistema de pensamiento implícito a las danzas que estaba documentando, danza de trance con un carácter muy ritualizado

su énfasis en el carácter moral del funcionamiento colectivo de ese sistema de magia personal, por ejemplo es similar a cómo dentro de la primera generación freudiana Ferenczi enfatiza la separación necesaria entre niño y adulto

20:30

el duende es lo que está y lo que ya no está / el flamenco es como el tai chi

20:46

el libro de Charles Mopsik sobre género y cábala se llama Le sexe des âmes, y está editado en Verdier

21:22

a mí si me parece extraña la pregunta, al menos así desde la distancia pierdo el hilo, suerte en todo caso, a veces basta tomar el tiempo de pensar despacio cada cosa

21:28

ruido dionisiaco, silencio apolíneo, estilo corintio del capitel frente a estilo dórico arcaico y puro

estilo corintio hojas de acanto, metamorfosis vegetal, culto a la viña, origen del uso del alcohol, frente a un mundo previo más similar a los dogon de Mali, los griegos antes (y todo no deja de ser una relativa ficción histórica para explicarse a sí mismos de los griegos, Plutarco u otros )


 4 h 35 min 16 s

21:42

ficción que Nietzsche se creyó al pie de la letra en El nacimiento de la tragedia

liberté

OFICIO DE TINIEBLAS





es en el musgo y las setas, esa cama
en ella duerme un río, casi la fuente del agua, y las plumas sobrenadan en sombra
y como un resorte me tomé un café y odié la vida
la petite mort
quisiera ser un inquisidor sangriento
por deformación literaria
insultar largamente lo más sagrado
pero se va pasando
en el agua en la que me he bañado no había nada, no estaban las falsas amistades, estaba el sol oculto, la luna, la piedra
los ciervos inexpertos se enredan para entrar

han puesto cines eróticos alrededor de ese lecho lustral, y extraños excursionistas se apelotonan entre el río y las taquillas
pero poco a poco uno descubre que son gatos, una ciudad de gatos, silentes como piedras, y solemnes como el violoncello de Bela Bartok
los hombres han muerto, hace un mes ya, en el planeta, no hay niños, sólo gatos y mujeres en la soledad
es una producción de maníaco

mercredi 5 février 2020

Septiembre - Los enemigos (de Jehová)





El 17 de setiembre de 1980, un comando guerrillero del ERP asesinó en las calles de Asunción al ex dictador nicaraguense Anastasio Somoza Debayle. Fue un ataque sorpresivo, que derribó para siempre el mito de que la dictadura stronista era poderosa e inexpugnable. Esta es la crónica de aquel histórico atentado.

***

El lanzacohetes no disparó.

El capitán Santiago (Hugo Alfredo Irurzún) había salido al frente de la vivienda que alquilaban sobre la avenida Generalísimo Franco (actual España) y la calle América, en Asunción, desde donde divisaba perfectamente el automóvil Mercedes Benz color blanco, en el que viajaba el ex dictador nicaragüense Anastasio "Tachito" Somoza Debayle, y que en ese momento se había detenido, luego de que el Jeep Cherokee, conducido por el guerrillero Armando, le cerrara el paso.

Siguiendo el plan original, Santiago había levantado sobre su hombro derecho el lanzacohetes RPG-2, de fabricación china, apuntado hacia el automóvil y oprimido el gatillo, esperando el impacto de la explosión, pero el arma no disparó.

Ramón (Enrique Gorriarán Merlo, el jefe del operativo) vio que los policías que llegaban detrás, en otro auto, se disponían a reaccionar y pensó que todo el plan podía fracasar en los siguientes minutos.

Entonces tomó posición con su fusil de asalto M-19 y vació todo el cargador, que contenía 30 proyectiles, contra el parabrisas delantero, mientras se repetía a sí mismo: "Ojalá que el auto no sea blindado".

No. El auto no era blindado. Los balazos penetraron el parabrisas delantero y parte del fuselaje, alcanzando primero al chofer César Gallardo (nicaragüense) como a quienes iban en los asientos traseros, Somoza y su asesor financiero, Jou Baittiner (estadounidense).

Ramón se acercó a pocos metros del auto para disparar su última ráfaga y luego, al ver que Santiago había recargado el lanzacohetes y estaba listo para disparar, corrió en su dirección y le hizo señas para que proceda.

Esta vez, el lanzacohetes funcionó perfectamente y el potente proyectil dio de lleno en el auto Mercedes Benz, volándolo por los aires.

"La explosión fue impresionante. Pudimos ver el auto totalmente destrozado y la custodia escondida detrás de un murito de la casa de al lado. Ya no tiraban más", recordaría luego el propio Gorriarán Merlo en una entrevista televisiva.

Eran las 9.55 de la mañana del miércoles 17 de setiembre de 1980 y la potente explosión del lanzacohetes no solamente acababa de terminar con la vida de "Tachito" Somoza, sino también acababa de darle un duro golpe a la propia dictadura del general Alfredo Stroessner, abriendo una profunda grieta en su férreo muro de vigilancia sobre una sociedad sometida y derribando para siempre el mito de que el régimen era una fortaleza inexpugnable.

La "hospitalidad" paraguaya

Tras haber sido derrocado por la revolución del Frente Sandinista de Liberación Nacional (FSLN) en julio de 1979, luego de una sucesión de dictaduras militares que había empezado su propio padre, Anastasio Somoza García, a finales de los años 30 del Siglo XX, Tachito Somoza tuvo que peregrinar por Estados Unidos, las Bahamas y Panamá, hasta lograr que un gobierno amigo le conceda asilo político.

Acusado de varios crímenes de lesa humanidad y de haberse enriquecido ilegalmente en el poder, Somoza llegó al Paraguay el 19 de agosto de 1979, acompañado de un grupo de familiares y colaboradores cercanos, incluyendo a su amante, Dinorah Sampson.

El entonces ministro del interior de la dictadura stronista, Sabino Augusto Montanaro, expuso en una conferencia de prensa que Somoza era recibido en el Paraguay en carácter de "residente temporal" y no como exiliado político.

"El Paraguay, siempre fiel a su tradición de hospitalidad, que se ha puesto de manifiesto en distintas épocas, recibirá al general Somoza en calidad de residente temporal", dijo Montanaro.

En un despacho internacional, la agencia EFE recordó que el régimen paraguayo se había hecho por dar refugio a criminales internacionales como el criminal nazi Joseph Mengele o el narcotraficante francés Lucien Darguelles, alias Auguste Joseph Ricord, el jefe de la famosa Conexión Latina.

Somoza residió a su llegada en una mansión alquilada sobre la avenida Mariscal López, casi San Martín, pero pocos meses después se mudó a otra más grande, sobre la avenida Generalísimo Franco, donde vivió hasta el día de su muerte.

Muy pronto, su presencia se hizo habitual en clubes nocturnos y restaurantes lujosos, donde participaba de fiestas y celebraciones, relatándose varios incidentes con algunas personalidades del jet-set asunceno. Se volvió leyenda su enemistad con el empresario Humberto Domínguez Dibb (HDD), yerno del dictador Alfredo Stroessner y director propietario del diario Hoy, presuntamente porque Somoza cortejaba a una mujer que también era amante de Domínguez Dibb.

También empezaron a trascender noticias de que Somoza estaba realizando operaciones comerciales de compras de tierras y otras inversiones. Posteriormente, se pudo comprobar que Somoza adquirió 8.000 hectáreas de tierras destinadas a la reforma agraria en el Chaco.

La "Operación reptil"

El plan para asesinar a Somoza empezó a gestarse en Managua, la capital de Nicaragua, durante los primeros meses de gobierno del Frente Sandinista. Quién lo planteó fue un conocido líder guerrillero argentino, Enrique Haroldo Gorriarán Merlo, "El Pelado", quien en los años 70 fue fundador del Partido Revolucionario de los Trabajadores (PRT) y de su brazo armado, el Ejército Revolucionario del Pueblo (ERP), junto a Mario Roberto Santucho, en su país.

Tras una serie de acciones armadas en la Argentina, Gorriarán y varios de sus compañeros se unió en 1976 a la lucha del sandinismo en Nicaragua, donde tuvo destacada actuación, hasta lograr la caída de Somoza.

Según lo relataría luego el propio Gorriarán, el plan para matar a Somoza surgió a finales de 1979, en el restaurante argentino Los Gauchos, en Managua, cuando con sus compañeros estaban compartiendo un asado con cervezas.

—Da rabia pensar que ese criminal está gozando de sus millones en Paraguay— dijo Armando.

—¡Ah no!, sería una vergüenza histórica permitir que ese asesino se muera tranquilamente en su cama de tanto beber guaro— agregó otro de los guerrilleros, según contó Gorriarán a los escritores Claribel Alegría y D.J. Flakoll.

Así empezó a gestarse la llamada "Operación reptil", que si bien fue una iniciativa del grupo comando del ERP, contó con la autorización y la financiación de autoridades del gobierno sandinista, especialmente del entonces ministro del Interior, comandante Tomás Borge.

"Entrar al Paraguay sin levantar sospechas, hacer el trabajo sin que te agarren y salir sin dejar huella", era el objetivo del grupo, que según Gorriarán fue integrado por "cerca de diez" hombres y mujeres. Solo se ha podido conocer y confirmar la identidad concreta de Gorriarán, Irurzún, Roberto Sánchez y Claudia Lareu.

Tras un entrenamiento en Colombia, un primer grupo de tres personas ingresaron al Paraguay desde Brasil en marzo de 1980 y perdieron varias semanas reconociendo el terreno y tratando de detectar el lugar donde vivía Somoza.

El dato preciso lo pudieron obtener de un modo temerario, cuando una de las integrantes del grupo abordó un taxi y le pidió al taxista que la lleve hasta "una peluquería que queda a dos cuadras de donde vive el general Somoza". Como el taxista tampoco lo sabía, no se le ocurre mejor recurso que bajarse a preguntar en una comisaría, y así la propia policía les indica la dirección, sobre la avenida Generalísimo Franco.

Para poder vigilar la casa sin despertar sopechas, el grupo alquiló un kiosko de venta de revistas y diarios en las esquinas de la actual avenida España y Santísimo Sacramento. Desde allí, haciéndose pasar como kioskero, uno de los guerrilleros podía observar las salidas y entradas a la mansión de Somoza y tratar de establecer su rutina.

"Lo simpático es que varios de los clientes que acudían a nuestro kiosko a comprar revistas pornográficas eran los propios policías de Stroessner", apuntaría luego Gorriarán Merlo.

Alquilaron varias casas de seguridad en barrios populares de Asunción. Una de ellas estaba en el barrio San Vicente, donde guardaban las armas que lograron ingresar de contrabando desde Argentina, cruzándolas en canoa por el río Paraguay, con ayuda de unos contrabandistas, a quienes hicieron creer que eran simples mercaderías: el lanzacohetes RPG-2, fusiles M16, ametralladoras Ingram y pistolas automáticas.

Otra iniciativa fue alquilar una casa sobre la avenida Franco (actual España), por donde habitualmente pasaban Somoza y sus guardaespaldas, en dirección al centro de la ciudad.

Tras comprobar que había una vivienda ofrecida en alquiler sobre Franco y América, los guerrilleros se presentaron ante el propietario (el ingeniero civil Luis Alberto Montero) asegurando que eran representantes del cantante español Julio Iglesias, quien planeaba pasar un tiempo en Paraguay para preparar una película y una serie de conciertos, pero que el mismo deseaba permanecer en el anonimato.

La estrategia funcionó perfectamente.

interesado por el erotismo chino





El sabio George Steiner, igual que el sabio poeta Pound o que Borges, veían en el universalismo la esencia de la poesía. El cine sin literatura es un fantasma sin alma, una larva informe


lundi 3 février 2020

ekphrasis de "Santa Tais"





Regardez, dans ma ville natale, Grenade, malgré la persistance d'une bourgeoisie de la dictature, l'on est dans une tacite dépendance des touristes (Alhambra, flamenco) et des étudiants (rock, flamenco encore, trap, bibliothèques, recherche) et la course s'ouvrit un jour pour un sculpteur ou deux de bonne famille de remplir la ville de monuments ou statues (le côté mannequin ça me déplait pas, en revanche, et l'idée qu'il y en ait partout est dingue et je finis par ne pouvoir qu'adhérer) à ceci ou à cela, commémorer tout selon le programme de chaque groupe municipal et des historiens (mais rances et "costumbristas"). Donc, dans ma ville natale il y a depuis une date qui commence à prendre de la classe une statue sur socle d'un personnage en tenue vaguement arabe tenant un rouleau qui serait de papier - mais toute la statue est en bronce comme le reste de statue, même patène - et levant l'autre main ... et bon, il lève la main du côté du trottoir en regardant vers l'endroit où, un peu plus bas, l'arrêt des taxis du centre-ville ancien, sous une autre statue plus ancienne mais déjà dans la tonique - celle de Christophe Colon aux pieds de la reine Isabel de Castille, par ailleurs une fanatique effrayante de la guerre tout comme Jeanne d'Arc, dans la célèbre occasion où il obtint par de promesses diplomatiques à la reine les moyens pour entreprendre son voyage et éveillant des promesses guerrières chez la bonne dame qui prendraient en tout le globe d'une planète secrètement sphérique - et bien malgré que la statue représente un notoire traducteur de la cour grenadine en période musulmane connu de tous les arabistes et du public cultivé, les grénadins appellent le carrefour où se place la statue "el moro pidiendo un taxi" (l'arabe appelant un taxi) et il existe une participation régulière du public dans l'entretien d'une tradition instituée mais sans institution déclarée qui est d'entretenir la statue par le mégot qu'on met entre ses lèvres et que n'importe quel grenadin civilisé et fumeur remplace s'il est tombé, avec le mérite civique qu'il faut grimper sur le socle




l'entretien de l'art par l'amour est une institution comme celle du mégot du traducteur arabe, sans contrat sauf le contrat d'une sorte de loi émotionnelle non verbale de la ville, la dharma de Grenade, et dans mon cas je solicite quelque part, car elle m'est connue, la dharma de Paris, si je considère l'institution sous le point de vue de la statue elle-même, mise là par excès artistique mais malgré tout douée d'une âme