dimanche 28 avril 2013

Mi madre de novia


Forma parte de un proyecto de libro de artista (con aspiraciones a libro electronico o como se llame) acerca de como se ve desde el exilio la Spanish Revolution. El trabajo tiene sus calvarios donde todo empieza a carecer de sentido y sus breves pero intensas revanchas de la inteligencia y la libertad. Me estoy dejando la salud pero no me arrepiento.

Oh, perdon. No, este es otro libro, que se cuece al mismo tiempo y que es mas especifico sobre el mito de Don Giovanni (y marcha atras empezando por Casanova, Molière, hasta el Conde de Villamediana, Juan de Tassis) con la excusa del motivo barroco de Faeton o de Icaro... viene a ser también un diario intimo, obra cotidiana un poco masonica y liberal.

Bueno, pues ya de paso hablo del otro libro en el que trabajo : titulado como libro de aforismos finalmente es un amasijo filosofico que ya veremos por donde se puede agarrar. Si no, el libro de base, que como siempre intento no ridiculizar, pero que me plantea una fuerte repulsa hacia su pomposidad bombastica, es un album en aleman de fotografia en blanco y negro tomada en Sicilia, con un cierto lujo en la presentacion y la calidad de las fotos. Alli se organiza una parranda de colores y de culos al aire que ni les cuento.

Pues gracias por seguir ahi, esto es desesperante, pero asi anda casi todo el mundo, agarrandose al saber hacer y al arte y sus propiedades medicinales, como se agarra uno a un clavo ardiendo. Venga, no es para tanto, un beso a quien corresponda.

Manuel Montero
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Post Scriptum

Me doy cuenta de que ahora que mi madre me ha enviado la foto de boda de ella que yo tenia en mente dibujando el personaje  femenino a lapiz del collage, pues, que en la foto esta guapisima, y como yo la recordaba guapisima, pues la he dibujado a mi manera, un pelin fetichista. Es un placer estético sin embargo verificar con el arte de las primeras fotos en color que mi madre era por ese entonces de una belleza alucinante. Nunca se esta a la altura.

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autre version du tableau précédemment montré ici



J'allais balancer tout simplement l'image de ce tableau (c'est daté en bas des trois figures) et ne plus rien ajouter. Mais depuis un temps je n'écris pas sur ce blog. Je m'arrête un instant avant de poster et je vous écris, chers lecteurs totalement aléatoires, une note.

J'ai vendu ce tableau en expliquant qu'il était peint en ayant bu de la bière et rajoutant que je ne touche jamais l'alcool et que c'était la seule fois que j'avais peint dans une ivresse alcoolique et non pas soufi ou kabbalistique (autant ajouter aussi certains mystiques hérétiques français et espagnols, tels Madame Guyon et Miguel de Molinos, lui avant elle). Le collectionneur avait un côté joueur et avait encaissé ma plongée novice dans la bière comme un clin d'oeil à son amour de la vodka et l'hydromel. J'ai auparavant montrée l'autre version du même souvenir d'un réveillon, une version des mêmes dimensions, qui m'avaient été suggérées par lui une année d'avance. La version sans bière je revenais du Shangri-La, restaurant de l'hôtel de luxe chinois (métro Iéna) : l'incantation propre aux grandes fortunes orientales d'aujourd'hui m'avait conduit à l'usage du vert cinabre... Ici peu de cinabre, malgré la laque vermillonnée chinoise qui s'ajoute au blanc de titane dans les roses. Non, je pensais dans le premier à la surface rythmée de chinoiseries d'une porcelaine. Ici je songe à du bois polychrome, à des bougies nordiques sur la table, à la dans dans un igloo, quoi. Et je suis bien content, c'était un de mes rêves. Le voilà réalisé et lucratif.

Je pourrais raconter l'anecdote du tableau mais je la réserve pour mon moleskine, elle est noté d'ailleurs ça fait plus d'un an. Bisous à tous et à toutes. N'oubliez pas que j'expose avec Eve Livet au Parti Communiste, rue du Pont Louis-Philippe, du 10 au 18 mai. On a choisi de réunir nos respectifs travaux sur la tauromachie. Re-bises. Ciao et à bientôt.

vendredi 19 avril 2013

A propos de l'apologie du cannibalisme (scientologie et autres pègres)

La justification des mises à mort pour le plaisir sadique des bourgeois (snuff movies) sous des prétextes prétendument psychanalytiques ou en invoquant un besoin inaliénable du cinéaste ou par une prétendue mondanité, est un état de fait qui ne correspond qu'au fascisme (régime social de la peur et de l'absence de véritables liens sociaux) et à une conception du pouvoir et de la société qui doit être contestée.

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jeudi 4 avril 2013

Almeria

https://soundcloud.com/bissecta/degenererade-manuel

Las Negras
tissu hypercubique du jamais et de la non musique
parfaite sécherèsse du singe et de l’abesse
quiproquo de fausses prophètes
angoisse batarde des prophétesses
le nu le non le nu le non le nu
l’eau le sel ah sel sel sel
gravitant sur le sommeil du chemin
le rire fou des jeunes savants
le passage de l’ambulance pulmonaire et cardiaque
qui récite des mantrams et pisse le dos tourné
seule différence de la muse
pour Rampin le loup du sud

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