jeudi 30 mai 2013

remarques de tauromachie


Mon expo sur la tauromachie, rue du Pont Louis-Philippe, au siège du Parti Communiste, m'a valu, pour tout scandale et tout sulfureux, d'avoir une discussion avec une écolo anglaise, qui m'attribuait un penchant pour la cruauté, c'est mieux que rien.
Je lui ai parlé dans ma tauromachie intérieure du rôle de lien social du sacrifice, et que c'était parce qu'on mangeait comme ça le taureau que l'on ne mangeait pas les hommes, que la violence restait suspendue, comme dans le sacrifice d'Abraham.
Il était état aussi du fait qu'en Espagne c'était fréquent d'être végétarien chez les jeunes, même si en tant que modernes ils allaient aux corridas ou aux matanzas du porc dans les villages. Je voulais lui parler d'une amie à moi qui ne mangeait pas de viande mais ses propres poulets dont elle avait à peine une dizaine.