mardi 22 février 2011

fan art tatoo

1 commentaire:

Arthur-Louis Cingualte a dit…

Je suis touché Manuel,

Si jamais, un jour, mes latines, gagnent le territoire papier, je serai honoré que tu tatoo, leur drapeau, leur couverture. Où bien même de l'illustration façon carnet. Ça me parle...

Dans la représentation - les deux - c'est tout fait justement saisi, ça dialogue pertinent, c'est parfaitement ça : ça minaude, ça sournoise, ça aguiche ça porte le béret comme il faut - préciosité ou affirmation militaire (vengeresse). C'est vulgaire et timide, c'est dangereux et irrésistible.

Et puis le tatouage c'est dans la chair, mais où (peut-être sous les linges/limbes : alors pour le voyeur, pour Actéon) comme si tu avais transpercé les pages vers le ghetto des amazones : c'est très signifiant pour moi ce mouvement. Les vieillards qui observent Suzanne n'ont jamais été aussi jeunes.

Merci infiniment, tu vois, pour toi, j'en mets, comme Giacometti, ma cendre dans mon café.