ce petit texte est comme un oignon, si on découpe de travers il dévoile des strates comme de pages vierges qu'on découvre sous le couteau.
Et pour l'oignon du texte, comme pour le réel, je suis de plus en plus contre le vinaigre balsamique. Le Christ est mort innocent en buvant un vinaigre dilué dans l'éponge d'un plaisir insuffisant. La Bible se fait courte comme un oignon lorsqu'on la jette dans la Seine.
mercredi 26 mai 2010
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1 commentaire:
pourquoi pas:)
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