En fait l'artiste contemporain est payé pour s'abstenir de produire, et l'artiste qui ose travailler doit se prêter à la dérive du non-service.
Autre chose : la politisation comme un loisir, n'est-ce pas ?
dimanche 6 juin 2010
Psicodelia cristiana (bavures inspirées)
L'artiste d'avantgarde (nomination militaire rhétorique) FAIT DES BAVURES dans son travail, mais, comme chez le policier, ce sont des non-lieux. De facto le travail contemporain est un non-lieu, une sorte de folie, et l'art reflète cette horreur. Le travailleur normalisé l'est justement parce qu'il est conditionné pour être fou, pour réaliser la dérive du travail. Ainsi l'argent n'est plus de l'argent. Mais on en reparlera.
En fait l'artiste contemporain est payé pour s'abstenir de produire, et l'artiste qui ose travailler doit se prêter à la dérive du non-service.
Autre chose : la politisation comme un loisir, n'est-ce pas ?
En fait l'artiste contemporain est payé pour s'abstenir de produire, et l'artiste qui ose travailler doit se prêter à la dérive du non-service.
Autre chose : la politisation comme un loisir, n'est-ce pas ?
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2 commentaires:
Manuel te veo muy bien en estos dibujos, me gusta mucho como estas abordando la unión de escritura y dibujo
Es una etapa que va mas lejos que las precedentes, Ivan. Un poco condicionada por el contexto, pero esas limitaciones son un estimulo.
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