jeudi 24 juin 2010

La Peste



J'ai été tenté de transcrire les réflexions écrites sur mon dessin, et de les mettre en forme, pour pas qu'on me traite de penseur confus ou d'artiste brut. Finalement, j'ai pensé à cette belle chambre petite-bourgeoise du romantisme, de Huysmans, ou de n'importe quelle demoiselle du XIXe siècle, dans laquelle peuvent être encadrées sur le mur aussi bien des pensées sapientielles, des lettres d'un amoureux que de belles estampes. Et je me suis dit que mon travail dernièrement sur petit format insiste sur cet angle du privé et de l'intime, par le truchement de l'art.

Vous trouvez donc un portrait peu ressemblant de ma tante Isabel et des réflexions autour d'Oedipe roi de Sophocle.

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