samedi 27 novembre 2010
miettes inintelligibles
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Je ferais parler la tulipe, en ordre d'être avec quelqu'un.
Nature morte, je copie par devoir ou par loisir ?
La copie doit être comestible.
Oeuvres très artistiques font le stress du transport nocturne.
Artistes de deuxième rang contre peintres du dimanche. Epée de novillero et cornes, de la bière pour avoir l'excuse de pisser pour sortir.
Depuis que la couleur n'est plus chimique, seule l'obscurité convient au philosophe.
Le jeune mari était pris par la reine pour nager dans le fjord.
Elle disait que c'était de l'amour quand elle me l'a vendu, et ça me tord les entrailles et me brûle partout.
Je donnerai mon manteau au père de l'orpheline.
Le corps du rêve se repose sur les vitres, dressé pour baiser avec la Diotima du Banquet. Son sperme est le savon de l'apparence.
Larme solide, électricité froide et sophistiquée, elle me parle enfin.
L'ange répugnant du souvenir ne touchera plus le nouveau poète, le poète incinéré qui n'est qu'à ses débuts.
Chacun a une vertu qui lui est interdite et un péché qui lui est conseillé.
Les bourgeois ne méritent pas de roi, tu leur donneras un tyran.
Odeur de carnivore au bout de mes doigts après ce soir.
Odeur de sainteté quand je serai cadavre, demain je prends une douche.
Epargne-moi les détails, Mon Dieu.
Une bouteille de vodka et un livre fermé. L'amitié fait son apocalypse.
La corde pour illuminer et la corne pour faire tourner les ténèbres et le miel.
Ton vrai cercueil est dans tes mains. Aime-moi et utilise tes pieds. Même s'il est préférable toujours la mort, et ses raisons, je suis loin et je t'appelle.
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