L'auteur à une rage de dents qui l'empêche de penser à rien. Ses pensées étant des pensées d'artiste bohème (soi disant néo-pauvre) la maladie tombe bien, faisant fonction de saine auto-censure. Et bien sûr, après qu'il aura rencontré le dentiste, il sera en condition de vous surprendre avec ses créations dans bien des domaines, beaucoup plus mesuré et poli, par l'inspiration que donnent les soins médicaux. Donc, vous n'aurez pas de passage à l'acte sur le blog aujourd'hui.
El autor esta pasando un dolor de muelas que le impide pensar. Habida cuenta de sus pensamientos de artista bohemio (o sea neo-pobre), la enfermedad le sienta bien, cumpliendo la funcion de una discreta auto-censura. Y por supuesto, una vez que haya ido al dentista, estara en condiciones de sorprenderles con sus creaciones en bien diversos campos, mucho mas sopesado y pulido, por la inspiracion que dan los cuidados del médico. Asi pues, no tendran ustedes de mi parte un paso al acto en el blog hoy.
lundi 8 décembre 2008
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2 commentaires:
Que te mejores, no dejes que te saquen ni un diente, Ya sabes lo que decia Gongora (?)
Heureuse année 2009 à vous...
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