jeudi 16 septembre 2021

du lot parisien, dessins


à l'atelier de Manuel Montero, l'erotisme du monomane, le solitaire en égard de l'amitié, qui croit vivre une vie édenique, au fur et à mesure qu'il décore la pensée, au moment de l'orgasme les relents de la Saint Barthélemy dans le bizoutage contemporain, le double bind et le fait accompli que la mise au sac est faite par celui qui agresse, et que le rève est le gage de toute société en dialogue voici quelques dessins, la plupart de Manuel Montero, mais aussi d'autres auteurs et auteures un montage différent de ces dessins accompagne le roman court Pseudoma, qui est en espagnol la bande dessinée underground, en cela, toujours inscrite dans les courants critiques, ici entriste par rapport au cinéma d'auteur - en ce qui est collectif, comme le projet ouvert Teatro de Azufre et la création d'art anarchiste du Mouvement d'Agitation Libertaire, qui se réclame des classiques du pamphlet révolutionnaire maoïste et donc du domaine littéraire acrobatique d'auteurs d'antan comme Sade, Kleist, Kristeva (période juvénile) J'en vais peut-être enregistrer plus tard un morceau de guitare et peut-être flute ou slam... bref, finalement ce sera parfait avec un jeu de clavier récent, originalement appelé Strange Wisdom of Young Cats, puis intégré au montage définitif de Néron et la Chaire de Rome, et qui sans les voix ici montre sa structure pure aux dilemmes auxquels la vie nous compose, faut en être remerciant, ce sont, par art, par application, les appels à conscience, ils sont à présent la consistance de la vie si les vecteurs de modération de la vie d'artiste ne sont pas trop braves, comment tient lieu la vie d'artiste ? mon action n'est jamais percutante, la technique vocal dans l'action de la vie, dans la pulsation d'oeuvres comportant réflexion, cela percute moins qu'un vecteur de modération non modéré, ne pas avoir peur, travailler à vaincre la peur, c'est nécéssaire pour vivre, accomplir sans entraves le cycle de la vie FREE ASSANGE / ARREST GATES cuentan que se perdió en el metro, y que gentes de diversas naciones andaban como él, por los túneles, como si unas aguas corriesen con ellos hasta la rodilla poco después estaba entre diosas, alcaldesas providenciales fuertes de espíritu, enfermeras militantes, y al poco llevar peso detrás de ellas en las barricadas, ser burro por el apego a la vida y la voluntad de obrar bien en modo andar camino con lo que diga la asamblea de su espíritu nómada le viene el reflejo contrario, el apego a los lugares, que no se rige por prisas y crueldades sino por una memoria que es la vida en el mundo Zeus, nacido al poco de nacido por la boca de su padre, salvador de sus hermanos, en tal circunstancia, valió esa vez la inteligencia y así es el mundo la madre de Zeus, entrevista en el Renacimiento, diosa láctea cuyo nombre conocen los íntimos y que confundo tanto con cualquiera y que para mí es Hera, Juno, diosa que vuelve posible el teatro, por la nunca formulada en mundo griego entendencia del universo, frecuente rehén del celo. pues bien, la madre de Zeus, de Júpiter, no como el nombre y la llave imaginaria que conlleva para la fantasía relacional, sino como la proto-Ariadna, que murmura lo suficiente como para que Zeus sea la inteligencia que acompaña, a la que se perdona por impedir el horror, en el acto necesariamente maniqueo de seguir vivo y no ser destruído, incluso volviendo a la vida después de ser el séptimo hijo de un ogro, ese olvido en el que podíamos dejar a la madre de Zeus, porque la vida era obra suya

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