mardi 29 juin 2021

Amanda Lear Présidente - C à vous - 26/01/2016



Quelle "belle œuvre" que cette œuvre de haine construite contre les femmes ! Votre délire est articulé autour de ça, vous ne vivez que pour étaler votre mélasse merdique et miséreuse dans le grand trou cosmique d'Internet, et là vous vous sentez exister, ayant comblé le vide inhérent à votre personne. Vous ne cessez d'injurier, de calomnier, de rabaisser les autres et surtout les femmes (et surtout celles que vous avez côtoyées). Vous faites passer votre confusion mentale paranoïaque pour de la poésie, mais cela ne leurre personne. Toute personne sensée peut rapidement deviner que vous n'êtes pas un véritable artiste, mais un faiseur de caca qui cherche à se défouler indéfiniment, préférant la quantité indifférenciée à la qualité du travail. Inouï ! (sic)


Devant la verbe de mes créancières et avec mon entorse à la main gauche j’ai du mal à concevoir que l’ennemi de mon travail artistique puissent être les femmes, ou les feministes, dont j’ai étudié quelque chose. Me trouvant en compagnie de femmes qui me prennaient pour déversoir de la haine, le non-lieu où il n’est pas grave merder; et me trouvant en même temps en jouissance du plein de bon côtés de leur compagnie; puisque la haine a des pauses; je me déclare innocent de mes états de panique puisque souvent l’attitude envers moi est la cause directe des dérapages qui arrivent de temps à autre dans mes états de panique; à une autre époque tout cela se serait parlé et élaboré ensemble avec aucune suspicacité ou captieux.


Je crois que je traverse dans l’intimité une sorte d’age du soupçon, nous avons la quarantaine et quart et les amours ratés reviennent chez elle et chez moi, nous acculant à l’échec.


Possiblement ici ma pathologie est en avance davantage que dans d’autres textes, je ne crois à la thése du premier paragraphe qui rend impossible le travail artistique et même onirique ou du désir; Je crois que j’ai étè artiste, même si pour repondre à une infamie dans laquelle j’ai été trempé je ne peux qu’avoir l’impureté dans ma défense même.


Il est malveillant de faire censurer sans appel tout un travail réalisé en commun et faire occulter son existence pour après traiter de médiocre l’artiste qui a été à votre côté


Je devrais avoir le droit de penser que ce qui s’est passé a pu me rendre plus sage, mais évidemment je ne suis en position de venir à être félicité ni “appuyé”; mais en revanche, l’aprentisage étant la seule justification de toute punition, l’on ne peut dire davantage que je suis encore puni, et content de l’être, soumis comme je suis aux malédictions matinales de prophétesses et sirènes.


*


Depuis quelques jours je ne vois Amapola que sur l’écran. Separados pero no divorciados. Todo y su contrario. Séparés mais pas divorcés. Je transpire des gouttes de mer tropical, il y a du Miami Beach dans l’air. Ma famille est au courant que je fume dans ma chambre. Le soleil est si fort dehors que l’on reste au noir dans les chambres. Devant mon écran je pense à la dernière fois que j’ai eu Amapola à l’écran, son sourire, ses grands yeux profonds, son corps léger et tonique de gitane. Nous avons été couple depuis plus de six mois. Nous avons pu nous connaître en homme et femme, ou nous détester sous tous les habits méprisables. Du moins que l’on peut sans se faire mal. J’aimerais que ça ait été vrai.


Je me suis fait mal, comme toujours, je traine en lambeaux, je dégénère. Je suis partout étranger.


De mes différentes couples, que par fidélité n’ont pas été dupes et ont eu une durée respectueuse qui permet se connaître, peindre, écrire, s’inspirer, il y en a eu quand même trois où la violence a fait apparition et pour lesquelles la décision de rupture a été la mienne. Il est certain qu’Amapola et moi, tous deux du même âge, il était drôle de nous mettre à comparer nos vies amoureuses. Des amours tristes, de grandes illusions. Des amours ouvriers. Chaque jour l’argent avait pas apparu; les premiers malaises.


Le théâtre de la vésanie qui m’a marqué des années avec Jeanne, sa dite exploration de la folie, qui n’ètait qu’un dépècement de l’autre. Je ne vois plus rien au miroir, je me répresente morcelé, schyzophrène. Je me suis empoisonné avec de medocs, pris en urgence par les pompiers, du moins deux fois, je suis sorti parfois seul d’un hôpital. La prison ne me fait plus peur. La sodomie est pas plus que l’extase d’une petite mouche. Tout et rien. La sodomie du policier, du tortionnaire espagnol qui refait surface après les événements de 2011. Même le pire au sens métaphysique ne nous fait peur. Mais qu’une femme nous crie aux oreilles qu’on est le pire, que le pire c’est nous, cela nous exaspère.


Mais le seul geste contre Jeanne a été de renverser une cafétière d’une gifle devant elle. En revanche je ne sais pas comment le scandale était permanent. Avec Amapola j’ai voulu fuir pour ne pas lui faire mal. Je ne maîtrise plus le démon de peur et rancune qui m’occupe. Mon visage se tord et j’ai pris une fois un couteau, une autre un fer, et finalement j’ai tapé la nuque de Amapola avec une bûche de bois pour le chauffage.


Ce sont donc des passages à l’acte mais ils se ressemblent à ce que j’ai été vitupéré ou dépossedé. En tout cas ma tête paranoïaque se sent attaquée, le stress me perturbe. Jeanne d’abord, puis Amapola m’ont traîté de psychopathe. Le médécin a l’air de croire que c’est vrai.


*


mis padres me dan un miedo bastante real

he pillado historias que se traían y que hago lo posible por olvidar, no puedo más

[13:10:59] Bissecta Script: Courage

[13:11:10] Manuel Montero: gracias

[13:12:00] Manuel Montero: j'espère arriver vivant à mon atelier et rester très longtemps

[13:12:25] Manuel Montero: je suis preoccupé pour Patricia

[13:12:40] Manuel Montero: je ne veux pas qu'on nous separe

[13:13:03] Manuel Montero: les commentaires sur elle sont sarcastiques et brutaux

[13:13:27] Bissecta Script: Désolée

[13:13:52] Manuel Montero: du moins tu le sais

[13:13:54] Bissecta Script: Vous allez y arriver

[13:14:27] Manuel Montero: mes parents considèrent que les êtres humains sont de la poubelle

[13:15:01] Manuel Montero: je ne peux plus suivre

[13:15:07] Bissecta Script: Et cela te dérange

[13:15:27] Manuel Montero: quelle vie me reste, où a été jetté mon coeur ?

[13:16:47] Bissecta Script: Dans votre jardin d'Éden à Pat et à toi

[13:17:00] Manuel Montero: le jardin des fous

[13:17:31] Bissecta Script: Des êtres féeriques

[13:17:38] Manuel Montero: où les petits cailloux sont vivants et respirent peu

[13:18:10] Bissecta Script: Ils te guideront qui sait

[13:19:02] Manuel Montero: je veux un jour raconter ça aux petits comme un conte d'autrefois

[13:19:18] Bissecta Script: Bonne idée

[13:19:41] Bissecta Script: Je vais bouger

[13:19:46] Manuel Montero: ok

[13:19:55] Manuel Montero: kiss

[13:20:08] Bissecta Script: Bonne après midi Manuel

[13:20:21] Bissecta Script: Kiss-kiss!!

[13:20:30] Manuel Montero: sister !!!



*



Assommé par la chaleur de l’été, celle du début qui a tort on appelle canicule, quand la canicule est régie par Regulus, une étoile du Signe du Lion, Je veux dire qu’on reste,.



21. Le samedi 18 juillet 2015 par Mouvement d·Agitation Libertaire

J'ai encore le renouveau de mes raisons d'exil loin de l'Espagne (et de ma famille qui est un concentré de raisons pour migrer ) : 1) interdiction des commentaires contre la monarchie, qui passent à relever du domaine du "terrorisme", même à titre privé 2)interdiction de representer en oeuvre d'art ou multimédia la consommation de drogue3) emprisonement des malades mentaux même sans délit, par décission des juges verreux 4) une église qui est la plus sinistre du monde et contre laquelle même le Pape François ne peut même pas signaler les cas de pédophilie (droit de cuissage clerical pour l'archeveque de Grenade, confrerie des ogres) 5) etc

Enfin, ce sont des raisons d'artiste pour partir de l'Espagne au bout d'une semaine, les raisons pour quitter Paris existent aussi, mais ce n'est pas à moi de les numéroter ici parce que je n'ai pas encore abandonné cette Terre Promise

22. Le samedi 18 juillet 2015 par Franco y bananas de la Rota

Cher Epagneul triste

Coupez-vous un doigt, vous regretterez la phalange.

1/ Il n'y a aucune raison de commenter la monarchie puisque tout le monde a le droit de l'approuver. Seriez-vous con et/ou de gauche ?

2/ L'art n'a rien à voir avec la drogue, sinon c'est de l'art dégénéré. Et l'art dégénéré n'a rien à faire en Europe. Raus

3/ Etre malade mental est en soi un délit. Donc c'est normal qu'on les enferme. Vous voudriez quoi, qu'on leur donne un voyage gratuit ? Salaud d'anarzichste

4/ La plupart des juges portent des lunettes

5/ Tous les pédophiles sont curés

(ou l'inverse, à vous de choisir, je ne me souviens plus dans quel sens il faut lire ça)

Pour Paris, Suicidez-vous au cachet d'aspirine, c'est tendance. On mettra un faire-part dans la revue, elle est de plus en plus lue : ça vous fera de la pub


Partagé entre une hilarité sourde et l'ennui qui me produisent ceux qui imitent sans fortune mon particulier décousu, j'ai eu besoin d'une sieste (nocturne) pour venir me solidariser avec le ''Mouvement d'Agitation Libertaire'' méchamment parodié par un micheton qui se croit capable de dissimuler par un texte drolatique la médiocrité de ce qu'il peut se paier comme jeu d'esprit.


Découragé par la multitude de constats, je vais pas dire l'avenir de sa réponse se voulant avenante avec une consommation de bananes qu'on m'attribue par hypocrisie, pour aller chercher le THC là où il n'y a pas.


Est-ce que vous êtes une femme ? Votre commentaire releve du flirt, de la coqueterie, et en même temps l'insanie et la vésanie de vos arguments parlent bien du puissant orgasme qui soustend votre vision d'avenir, et pour l'Espagne et pour Paris. Je n'aurais rêvé qu'on me saute avec une telle determination. Si j'ai pu être misogyne selon certains, vous avez curé cela me considérant avec une réponse ainsi passionnée. Pourquoi m'aiguicher ainsi ? Semen retentum malum est


Autre possibilité est que vous soyez le médecin sadique, l'auteur catholique que j'avais ridiculisé autrefois ici, mon papa, jaloux et conspirateur, ou Krane (le pauvre, il est un gentil je crois pas, et pourquoi se dissimuler ainsi ? si c'est Krane alors merci), ou Léo (astrologiquement ) ou le nommé knight ou son proche Nicolai Lo Russo (qui resta agacé de mon silence), enfin tous ces fantômes qui voulant se venger de devoir me lire continuent leurs trilogies et ne les finisent jamais.


Parce que toutes ces mauvaises consciences s'évertuent et s'eventrent à lire ce que je publie comme si c'ètait obligatoire. Je sais que l'èmulation est un grand catalyseur, et pour preuve ma réponse. Mais l'émulation par le bas, recopiant à rebours pour accoucher le publiable c'est degueulasse; l'émulation, et dans le style et dans les idées, se doit de la parcimonie et de la loyauté. Ne seriez vous le Ministre de l'Intérieur espagnol ? parce que vous exprimez ses idéaux, il aura fait ça à l'aide d'un nazillon parisien fils à papa; mais non, lui au moins il ne prétend être ingénieux, il continue le chemin fade et maternel du dictateur, il est l'horreur sans aditifs, il n'a de prétension du moins, juste emprisoner ceux qui vont pas en exil, il faut dire qu'il perd pas son temps.


Le suicide aux médocs je l'ai déjà fait et ça soulage, mais il faut que ce soient des aspirines comme avant, celles qui sont fondantes et pétillantes, et non pas le paracetamol merdique qui risque de tuer tout le monde pour de vrai.


Enfin, vous voudriez m'imiter (inversé, et pour cela vous vouliez savoir quelle était ma gauche), moi je voudrais être à la hauteur, mais à quoi bon ?


Je vous ai laissé un peu de yutub zinema, sur le commentaire du MAL, dadaïste grandi; encore merci.


A quoi servent les libertés ? Salvador Dali disait hair la liberté. Prendre Dali comme modèle de pensée, sans autre garantie (avant d'en découvrir la valeur historique ou psychanalytique ) que de l'avoir trouvé génial au premier abord enfantin, écoute assistée par papa, n'est du tout prudent pour un fonctionnaire de la culture, mais un artiste peut ne pas être en train d'accomplir une fonction publique mais bien de rester à l'écoute de ses tout premiers coups de foudre. Haine des libertés donc, qui se situe côte à côte d'une demande de liberté toute marginale. Les libertés servent alors à l'épanouisement de ce qui est en nous étouffé par les structures de la croissance aveugle, du cadrage des cadres.



Commentaire pour Thomas Lélu au Silencio


Ce sont qui ces jeunes messieurs ? je veux dire Lélu et JeanYves... Parce qu'il faut une présentation sans tout cet oripel (étrons, suspects et autres délicatesses de leur confection ) qui ne fait que distraire


Ma psychiatre en 2008 m'avait assuré que, chez Léo Scheer, j'étais bien avec l'extrême gauche... soit les temps virent au caqui soit elle comptait sur ma disgnosie et faisait de bricoles sur mon psychisme


 el viejo chamán de la Orinoquía / región conexa con la de una rama de tus antepasados

 el viejo chamán de la orino

 perdon

 el viejo chamán de la Orinoquía era esencialmente nicotínico, como tu padre

 la psicodelia propiamente dicha es un hobby que solamente colora la materia del chamanismo de base nicotínica que en el fondo es como hermano del hasidismo yiddish

también hay que decir que el poder médico real del chamán era analgésico, antiséptico y a veces antipirético, en el caso del chamán no particularmente fino

 no hay socialización del chamán en la estructura indígena actual sin al menos alguna propiedad médica o bien en otros casos cultural, ya que la estructura social indígena ha sabido convertirse en una experiencia pequeño-burguesa

 y digo esto con el mayor respeto

 sobre todo habida cuenta de que como te dije yo sólo soy en esas estructuras un chamán nicotínico que ha viajado, entiéndelo como quieras

 una especie de payaso fakir, visto severamente

 pero en modo suave, en terapia con chamanes supuestamente mejores

 los médicos, sobre los que parece imposible hacer la menor crítica


Zeena Schreck: 50 Years as Ritual Performance Artist


9 de julio de 2020, París

la policía de Londres interrogó ayer on live al Dalai Lama


me aburri enseguida y me agobié un poco

pero parto de que tuviesen buena intención

que realmente aspirasen a esclarecer cosas

básicamente le pedían consejo espiritual pero habría que escuchar entero y yo no tengo paciencia y me agobia como siempre todo lo que lleve uniforme

pero sigo pensando que prefiero quedarme con la idea de que se pueda hacer algo bueno

investigar a los criminales de guerra españoles y franceses, los GAL por ejemplo y el ejército francés

puedes imaginarte por qué me agobio

mis padres siguen en plena forma, Felipe González igualmente, el arzobispo como si fuese inmortal

y del lado francés yo prefiero ni enterarme 

estando aquí enmedio es preferible hacerse el tonto, sobre todo en datos, no en el principio, sigo pidiendo justicia

como has comprendido, ahora me encuentro vulnerable o así lo siento, las malas lenguas hacen daño, empezando por lo que me soltó mi madre cuando me lancé al ruedo y la llamé

la corná de siempre

no sé ya cuántas veces me he muerto

Anne se llama mi novia

espero que salgamos vivos ella y yo

tú también

espero que no nos metan más

y que no maten más gente

yo te conozco un poco

sé que nos unen ideales o como lo quieras llamar

que Anne, o tú, o yo, o la mamá de mi hijo y mi hijo, somos frágiles por nuestras ideas y nuestro físico

y he aprendido que la ferocidad de los mayores los mantiene vivos, pero que sólo es bello lo que es bueno

y ellos son feos

mercredi 23 juin 2021

étude sur Myrrha


étude de lecture d'après les Métamorphoses d'Ovide dans le texte latin pièces en état de l'atelier parisien de Manuel Montero Chère Eve, j'ai pas eu le moral de t'envoyer ne soit qu'un petit poème et pourtant, c'est le jour où la poésie s'est imposée comme la seule tâche à entreprendre si dure et exigeante qu'elle porte le poids du monde poésie lourde ne plait à l'âme et je rumine l'échec depuis la vérité est beauté, la vérité est aussi douleur la voix du poète plait si la couleur s'apaisse et pour faire cela j'attends, ma tête, mon corps parlent fort et pleurent tout le temps ma bouche, musélée par la laideur du vrai, a du mal à respirer j'attends de pouvoir accomplir un dessein lyrique une traduction, réfuge, exil... et même ainsi au milieu de la fièvre je n'arrive pas à crier, à chanter le chant d'un autre auteur un autre ? puisque le passé n'est compris de personne... la sienne est ma voix, ses images mes peintures, Ovide tu connais mes Europe et Diane pour lesquelles tu as été nymphe et déese sur des tableaux, mérite moyen du peintre, les précédents se savent mais depuis une chute profonde récente dans la tendresse depuis que l'amour ferma tout, bouche, fenêtres, yeux la beauté est à peine comme la triste mortelle d'un chant d'Orphée que l'Ovide dit traduire du grec les versions des Métamorphoses sont nombreuses à aucun moment je n'ai envisagé de faire une nouvelle traduction à la vas vite au contraire, c'est un besoin désespéré presque de comprendre par l'étude, par la lenteur, et faire ainsi durer ma vie par l'excuse d'un retard dans ma disparition, un vague lueur dans le noir de mes adieux je voulais pleurer en paix, par une musique délicate et en démi ton c'est la vie qui m'a porté devant la fable, évahi du vrai des lettres, de leur dictée mystérieuse je ne peux pas agir en géant, dans l'acrobatique usure du survivant je ne peux plus le faire devant ce feu obscur il me faut moi même traverser vers le profond l'image est fumée, vent qui change, et mes paroles seront seules les battements d'une lumière éphémère marchant dans mon quartier, j'écrivais cette lettre pour m'occuper l'esprit je comptais rester silencieux sur l'épisode auquel je suis lié il définit une personne que j'aurais pu être et qui n'est qu'un rêve un souhait, un soupir mauvaise poésie de m'accorder le mérite d'une mémoire j'ai réuni différentes traductions et le texte latin ne désirant que les instants dérobés par l'étude à la gravité de la parole pour cela de retenir le nom du mythe est peut être la jouissance ici te le dire serait mieux à porduire un récit, de même que jamais ne peut on raconter un jeu d'esprit par la fin, si la fin c'est pour pouvoir en rire

No venimos del latín (entrevista a la filóloga Carme Jiménez Huertas)

Manuscripts of Timbuktu.

vendredi 18 juin 2021

Penderecki Cadenza for Solo Viola


mi esperanza era que la araña matase al mosquito
pero la araña no quiere problemas
SIEMPRE EN ESTADO DE ESPERA

jeudi 10 juin 2021

concertino invisible


Si dans l'idéologie militaire l'on parle de "frappe chirurgicale", commençons par dire "c'est des putes" et après aimons-les. Le tigre ne peut aimer la panthère et la rendre mère de la terre que par l'attaque. Offenser la déesse est parfois la seule manière de s'approcher d'elle. Or, le culte du montage comme essence du cinéma cache un double langage, celui d'Eisenstein, qui justifie le montage, celui de Hollywood, qui prostitue le langage, détruisant et langage et conditions du regard, s'exerçant comme idéologie, comme intoxication de masse. L'idée de "coupe" implicite au montage vient, dans l'Occident totalitaire, justifier et modéliser la médecine chirurgicale et l'idéologie de la "guerre contre le cancer" qui comme la "guerre contre la drogue", consiste à désigner un "ennemi intérieur", excuse pour détruire le corps, dans la médecine, et pour détruire la société dans ses liens, dans l'ordre policier La Balance, où Pèse-Nerfs, dans le dispositif totémique du zodiaque, composé d'esprits vivants, vient instituer un totem bien étrange, un outil, une machine, un appareil dont la "vie" consiste à sa qualité d'exercer par l'équilibre un travail de pondération, d'évaluation, donc un appareil qui exerce une manière de perception. Il en était pour moi, voyant les cartes zodiacales du ciel, d'un ne pas du tout aller de soi de la figure de balance entre les animaux sertis dans le planisphère. Avec meilleure ou pire fortune, les différentes présences animales serties dans le ciel pouvaient plus ou moins aller, mais les dessins de balances au milieu de tout ça n'avaient jamais été satisfaisants... ceux qui voulaient figurer les cordes détendues à la con montraient bien les modalités d'indigence mental de chaque artiste, toujours cette figure était la preuve d'une bêtise du projet figuratif... mieux serait servi le figurer par jeu d'un acrobate, par un oiseau, ou si l'idée de machine devait en tout prévaloir, s'arranger pour la styliser en tant que dynamisme. à l'essentiel aller dans le jeu même des distances entre les étoiles qui la composent, où ce doit être logique et plausible de trouver aussi-bien le pourquoi d'une telle gestalt Il en est de raison d'une lecture plus serrée de ce point du dispositif, il en est de lire par balance le squelette, le jeu d'équilibre des ossatures, le rite mortuaire, le lieu du deuil après la récolte (du grain et des jeunes femmes) au signe précédent de la vierge

DEMONS VALENTINO + Ceremonia Salvaje, de Narzeo Antino


cannelle adultérée avec écorce d'amande, café corrompu avec du bois moulu de noix de cocotier / passée l'age d'or le cinéma noir et blanc est le signe d'une contrainte... plus vite, moins de frais, moins de risques de droit, 720 dpi et va... nonobstant le poète y est, le florilège de citations était pertinent ? Laurent Vo Anh ( Hurlante Nova) et Manuel Montero servent ces préfaces pour Narzeo Antino, dont des fragments de Ceremonia Salvaje son présentés en traduction performative

samedi 5 juin 2021

Yung Beef - Arabia Saudí


Tierra y Kurdistan. Documental.


y abajo el imperialismo

discours pacifiste par Hurlante Nova


Je joins ici la vidéo d'un long audio c'est Laurent Vo Anh
fin 2019
ça parle de l'enjeu révolutionnaire de la grève générale française sur le plan géopolitique je l'ai trouvé d'une belle oratoire et j'ai consacré quelques séquences à l'illustrer mon coeur contradictoire y va avec pour vous mes proches de manière très serrée (están genocidando poblaciones en América Latina, en Africa, en Medio Oriente... en Europa misma están operando el saqueo... y dicen que sus leyes prohíben los discursos de odio...)