mardi 11 mai 2021

LE SENS DU SCANDALE Catherine G A & Manuel M


Écriture : Catherine Gil Alcala et Manuel Montero / lecture webcam par les auteurs des toute premières lectures de la suite de scènes ( printemps-été 2012) Nous nous étions proposé d'analyser par une écriture théâtrale d'ordre poétique le phénomène baroque du quiétisme français (théologie rococo) mais la démarche touche aussi au surréalisme et les personnages se démultiplient en plusieurs * site de Catherine Gil Alcala : http://www.lamaisonbrulee.fr Catherine Gil Alcala navigue entre plusieurs disciplines, la poésie, le théâtre, la performance, les arts plastiques… Expérimenter en toute liberté pour traduire le langage de l’inconscient, des rêves, de la folie… qui sont ses obsessions, ses thèmes de prédilection. Plusieurs de ses textes ont été joués au théâtre ou ont fait l’objet de performances musicalo-poétiques. Maelström excrémentiel, son poème érotique surréaliste, a été représenté au Théâtre des Déchargeurs (Paris) et au festival d’Avignon. Sa pièce James Joyce fuit… Lorsqu’un homme sait tout à coup quelque chose a été représentée au 59 Rivoli dans le cadre de la Nuit Blanche 2012 à Paris. Elle conçoit une expo-performance de ses poupées-sculptures et de ses poèmes : Doll’art ou les Épopées de Pimpesouée, qu’elle présente dans le cadre du Festival Fou et du Festival Meuf’elle, à la galerie Arte Rainbow à Dax, et au 59 Rivoli dans le cadre de la Nuit Blanche 2013 à Paris. Elle fait des performances musicalo-poétiques notamment à la galerie Mana-Art à Bruxelles, et au Musée du Montparnasse, à partir de ses aphorismes Les Contes défaits en forme de liste de course. Elle participe en tant qu’auteur à la 35e édition du « Bocal Agité » à Gare au Théâtre (Vitry-sur-Seine, 94) et elle publie aux Éditions de la Gare Une Nouvelle ville, vie… dans l’ouvrage collectif Bocal urbain / Vivre la ville demain. Elle publie aux Éditions La Maison brûlée en 2015 : James Joyce Fuit… Lorsqu’un homme sait tout à coup quelque chose suivi de Les Bavardages sur la Muraille de Chine, en janvier 2016 : La Tragédie de l’Âne suivi de Les Farces Philosophiques, en novembre : Zoartoïste et autres textes, en juin 2017 : La Somnambule dans une Traînée de Soufre, en mars 2018 : La Foule Divinatoire des Rêves. Parallèlement, elle participe à des rencontres littéraires et lectures publiques, et réalise des poèmes performances : Miroir 1 et Miroir 10 extraits de Zoartoïste, et La Foule Divinatoire des Rêves, au Salon des éditeurs indépendants l’Autre Livre, à la Librairie du 104, à la Théâtrothèque Gaston Baty – Université Sorbonne Nouvelle Paris 3, au Théâtre Les Déchargeurs, à la Librairie Théâtrale, à la Journée du « AHZ’ART » dans le cadre du Printemps des poètes, au Théâtre le Vent Se Lève, au Festival Quartier du livre et au Festival d’Aurillac, à la Bibliothèque de Châlons-en-Champagne. À l’automne 2018, elle fait des lectures de sa pièce La Tragédie de l’Âne, au 100ecs, au Salon des éditeurs indépendants l’Autre Livre et lors de la Nuit blanche à Paris. En 2019, elle expose des poèmes sonores et des œuvres plastiques à la galerie Mémoire de l’Avenir et à la librairie-galerie Le Temps de lire. En décembre 2019, le festival Mantsina sur scène, à Brazzaville (Congo), accueille deux représentations de Zoartoïste de Catherine Gil Alcala et une lecture de sa pièce La Tragédie de l’Âne par la compagnie Nsala. En 2020, elle joue Déreliction de l'Art à la 7ème Biennale des Arts Singuliers et Innovants à Saint-Étienne et Zoartoïste et à la Maison de la Poésie d'Avignon et au festival Les Balladines de Penne. Elle expose à la 7ème Biennale des Arts Singuliers et Innovants à Saint-Étienne et à la Maison de la Poésie d'Avignon. Catherine Gil Alcala sur theatre-contemporain.net En 2020, elle joue Déreliction de l'Art à la 7ème Biennale des Arts Singuliers et Innovants à Saint-Étienne et Zoartoïste et à la Maison de la Poésie d'Avignon et au festival Les Balladines de Penne. Elle expose à la 7ème Biennale des Arts Singuliers et Innovants à Saint-Étienne et à la Maison de la Poésie d'Avignon.

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