Commentaire pour Laurent de Sutter, de la prostitution, entretien avec Peggy Sastre
Je suis non seulement d'accord (comme on entend l'accord pure et
simple de la pensée) avec Laurent de Sutter sur la haute valeur
politique de la subversion sexuelle, mais d'accord au point (pratique)
de payer de ma situation de sans papiers volontaire (moyennant
l'appareil symptomatique de ce qu'au moyen age - vid. Klein - était
appelé le fou volontaire). Il est bien vrai que ma subversion ne
constitue une nouveauté philosophique, après les théories de Deleuze,
pour ne citer que de choses récentes, mais pour la visibilité des
personnes abolies et pour mon esprit d'expression (si l'on peut le dire
ainsi) je me dois de faire valoir ma démarche artistique en tant
qu'action directe sur le social ou réel. Je mets en lien les derniers
témoignages qui me tiennent à coeur. j'ai remarqué une
difficulté à ce que mes liens tiennent, qui m'apparaît fatale, et
j'essaie de tricher... vous me direz si ça va
et j'insiste à faire la pub pour la pièce de théâtre ou poème dramatique Maelström excrémentiel de Catherine Gil Alcala au donjon privé de "Maîtresse Cindy"
díganme qué tiene de malo el pensamiento débil si se toma sus medicinas / te dejaste olvidada la inteligencia y la usé toda / age d'homme serait pour moi le dépassement de l'Oedipe parricide au Oedipe aveugle car il a compris les femmes, age d'homme c'est que devant aux femmes un role tout neuf de père et assumant leur croix, avant que de simplement compatir il les debarrasse de la croix