jeudi 31 janvier 2013
mercredi 30 janvier 2013
epigramas en idioma chino traducido
...
Escribió buena poesía
hasta tener pareja estable
o simplemente una pensión
luego cambió de estilo para poder poner cuernos
con ejecutivos de la cultura
a lo sumo funcionarios del anarquismo
y tener dinero extra
...
Il est vrai que tu as
une certaine infatuation
mais
chez toi on a de la poésie de qualité
du sexe de qualité
de moments légers
et cela compense le reste
je veux dire ta personnalité
l'ensemble est bon
et l'on se sent bien
avec toi
...
Qué bien suena todo en franchute
vamos
como si a uno le hicieran un francés
en realidad escribo en chino
pero traducido
pensamiento Mao Tse Tung
...
Sometimes my mind and thoughts
are far enough to sleep
standing up and talking
this would be frightening without
if I wasn't artist
living up in the bubble of future
...
lundi 28 janvier 2013
dimanche 27 janvier 2013
jeudi 24 janvier 2013
lundi 21 janvier 2013
mercredi 16 janvier 2013
lundi 14 janvier 2013
propuesta de letra
se puede decir prima, o Susi, en vez de hermana
ah, Susi, te adjunto mi propuesta de letra
el pez no entra en la malla
el pollo acorralado
dije lo que dije
es verdad, hermana
pero no entré en detalles
mi fallo esta en el ritmo cardiaco
en el que tu me has puesto
se puede decir prima, o Susi, en vez de hermana
ah, Susi, te adjunto mi propuesta de letra
por Dios y la Gran Puta
para Guadalupe Plata
ah, Susi, te adjunto mi propuesta de letra
el pez no entra en la malla
el pollo acorralado
dije lo que dije
es verdad, hermana
pero no entré en detalles
mi fallo esta en el ritmo cardiaco
en el que tu me has puesto
se puede decir prima, o Susi, en vez de hermana
ah, Susi, te adjunto mi propuesta de letra
por Dios y la Gran Puta
para Guadalupe Plata
guadalupe plata . como una serpiente
http://www.dailymotion.com/video/xfr52f_como-una-serpiente_music<iframe frameborder="0" width="480" height="276" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xfr52f"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/xfr52f_como-una-serpiente_music" target="_blank">Como una serpiente</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/venuspluton" target="_blank">venuspluton</a></i>
http://www.dailymotion.com/video/xfr52f_como-una-serpiente_music
http://www.dailymotion.com/video/xfr52f_como-una-serpiente_music
vendredi 11 janvier 2013
certaines choses inspirées de Juan de Tassis, comte de Villamediana
free frog fury the day becomes darker
the ways of fairieing the ring double of sight
persigned by a penitent rape cape of krimson
and wisdom bowing by whispers the streets of angst
elle est toute mignonne et fronce la vue sous mes lunettes
ma maîtresse puce sourit avec un seul atome
une seule prunelle qui s'ouvre comme une fleur indivisible
parmi les puces de mes somnolences elle est ma maîtresse
je ne sais pas pourquoi; elle est mignonne et je sais qu'elle est près de moi
All i appeared to learn was to break dreams
maybe i felt them too pink too bubblishistical too boring
and destruction was my best dream
Je suis calme, j’ai dû pécher sans repentir
ma pensée médite, forcément assoupie par un toxique
mon coeur est trempé dans le baume de la transgression du dégoût
j’applique au crachat de la vulve malade et à la sueur de l’anus mon ultime amour
l’outil charnu de la parole et des arrière-goûts
le renoncement des gestes hilarant qui se blessent d’un bouquet d’orties
pour avoir d’autre chose dans mes mains que ce crâne qui veut téter
ma dernière goutte d’encre blanche et de lutte shoppenhauerienne
je voudrais dessiner comme Dieu l’a fait si moderne, si vrai le caprice parfait, l’ovale et l’escalier qui se tresse des caresses d’un claquement de cils
*
cils subtils désire le vice
sexe qui réalise
s'habille du parfum
puis de la sueur
mon âme soeur
the devil's beard
a tale on the shepherd's pie
the chocolate mouse of a couple
above us only spies kiss one another
in the garden all is wet and fresh
but no mush, no grass, no tail
over the corpse of my love
the princess of worms
dans les caresses de la femme velue
non-épilée
le plaisir de pas savoir
dans les jambes qui s'entrecroisent
lesquelles sont les siennes et lesquelles les miennes
toutes miennes, toutes siennes, centaures de nous mêmes
tout est luxe, tout est beauté
les livres pourrissent, sont déchirés par de mains délicates
qui n'ont jamais travaillé
tout est calme, tout est volupté
rêves dissociés au théralène, diètes du hasard
... charge de police anti-émeutes dans l'imaginaire
et senteurs d'ail et boudin dans un baiser sur la bouche
Que c'est beau... Baudelaire...
et tout le bruit du froufrou métrique
est un fou rire d'enfant numineux
d'un oiseau et d'un vieux
...
Les filles noires de l'ombre froide
affirment leur marche vers un éclat trouble
reconnue d'elles la voie s'évade
et elles vont ensemble à la double
souffrance du crépuscule malade
on a dit que la condition contemporaine
était de revenir sur le passé
et que ceux qui étaient les plus désuets
étaient ceux engloutis par l'actualité
ainsi reconnaître tournade à côté de la tornade
au risque de pas choisir le mieux
respire feu de présages l'Etna, voyade
d'échec pour un père insoluble
et piétine le dos net du terrain
et mord fumant le frein de sulphure
comme à Sodome la tombe ardente
d'un comte ou d'un marquis pour peu de chose
...
La cire céréale orne les champs
domaine d'intelligentes luttes
distinction d'un ordre garantissant
division du cocu et homme-pute
une houri du Paradis voulait m'embrasser
mais comme je n'avais pas l'anus propre à ça
elle renonça et m'envoya au Purgatoire
peut-être c'est ça mon problème avec les femmes
Thomas d'Aquin, en revanche considère dans sa Somme que la merde des bienheureux a bonne odeur et bon goût, et qu'il n'y a donc aucun dégoût à l'embrasser ou la lécher dans les noces célestes
the ways of fairieing the ring double of sight
persigned by a penitent rape cape of krimson
and wisdom bowing by whispers the streets of angst
elle est toute mignonne et fronce la vue sous mes lunettes
ma maîtresse puce sourit avec un seul atome
une seule prunelle qui s'ouvre comme une fleur indivisible
parmi les puces de mes somnolences elle est ma maîtresse
je ne sais pas pourquoi; elle est mignonne et je sais qu'elle est près de moi
All i appeared to learn was to break dreams
maybe i felt them too pink too bubblishistical too boring
and destruction was my best dream
Je suis calme, j’ai dû pécher sans repentir
ma pensée médite, forcément assoupie par un toxique
mon coeur est trempé dans le baume de la transgression du dégoût
j’applique au crachat de la vulve malade et à la sueur de l’anus mon ultime amour
l’outil charnu de la parole et des arrière-goûts
le renoncement des gestes hilarant qui se blessent d’un bouquet d’orties
pour avoir d’autre chose dans mes mains que ce crâne qui veut téter
ma dernière goutte d’encre blanche et de lutte shoppenhauerienne
je voudrais dessiner comme Dieu l’a fait si moderne, si vrai le caprice parfait, l’ovale et l’escalier qui se tresse des caresses d’un claquement de cils
*
cils subtils désire le vice
sexe qui réalise
s'habille du parfum
puis de la sueur
mon âme soeur
the devil's beard
a tale on the shepherd's pie
the chocolate mouse of a couple
above us only spies kiss one another
in the garden all is wet and fresh
but no mush, no grass, no tail
over the corpse of my love
the princess of worms
dans les caresses de la femme velue
non-épilée
le plaisir de pas savoir
dans les jambes qui s'entrecroisent
lesquelles sont les siennes et lesquelles les miennes
toutes miennes, toutes siennes, centaures de nous mêmes
tout est luxe, tout est beauté
les livres pourrissent, sont déchirés par de mains délicates
qui n'ont jamais travaillé
tout est calme, tout est volupté
rêves dissociés au théralène, diètes du hasard
... charge de police anti-émeutes dans l'imaginaire
et senteurs d'ail et boudin dans un baiser sur la bouche
Que c'est beau... Baudelaire...
et tout le bruit du froufrou métrique
est un fou rire d'enfant numineux
d'un oiseau et d'un vieux
...
Les filles noires de l'ombre froide
affirment leur marche vers un éclat trouble
reconnue d'elles la voie s'évade
et elles vont ensemble à la double
souffrance du crépuscule malade
on a dit que la condition contemporaine
était de revenir sur le passé
et que ceux qui étaient les plus désuets
étaient ceux engloutis par l'actualité
ainsi reconnaître tournade à côté de la tornade
au risque de pas choisir le mieux
respire feu de présages l'Etna, voyade
d'échec pour un père insoluble
et piétine le dos net du terrain
et mord fumant le frein de sulphure
comme à Sodome la tombe ardente
d'un comte ou d'un marquis pour peu de chose
...
La cire céréale orne les champs
domaine d'intelligentes luttes
distinction d'un ordre garantissant
division du cocu et homme-pute
une houri du Paradis voulait m'embrasser
mais comme je n'avais pas l'anus propre à ça
elle renonça et m'envoya au Purgatoire
peut-être c'est ça mon problème avec les femmes
Thomas d'Aquin, en revanche considère dans sa Somme que la merde des bienheureux a bonne odeur et bon goût, et qu'il n'y a donc aucun dégoût à l'embrasser ou la lécher dans les noces célestes
Libellés :
faerie queene,
littérature (français),
Teatro de Azufre
lundi 7 janvier 2013
dimanche 6 janvier 2013
versos blancos al estilo de los derviches
...
Madame, Mademoiselle, voici ma maison
un garage et un sac de couchage, un convertible
pour des gymnastiques propres au Tibet sur cuir blanc
et un Maëlstrom de paperasse
au Tibet de Kerouac je veux dire
...Volvamos a la mística persa, a Hafiz, o ahora a Rumi :
Fue alegre ese instante, tú y yo nos sentamos, diferentes por la forma de las manos, los ojos distintos y cada rostro que tenemos
Pero tenemos el mismo fondo, los colores del parque
y los jilgueros de otros tiempos a nuestro alrededor, el canto de las flores anuncia nuestra inmortalidad.
A esa hora iremos juntos al parque, fuego negro, silencio del día... las estrellas del cielo vendrán a mirarnos.
Les enseñaremos el eterno femenino de la Luna, y su luz, tú y yo.
Los dos, liberados el uno del otro y de nosotros mismos, estaremos unidos en el gozo, el éxtasis alegre donde ninguna palabra está de sobra.
Los pájaros celestiales tendrán envidia del suelo que nuestros cuerpos vuelven remolino caliente del otoño, porcelana cruda en la cantera será pura la envidia del ángel.
¡Cómo vamos a reirnos los dos, en ese sitio, tan a gusto! Pero el colmo es que en un mismo nido de amor, tu cuerpo está al otro lado de una maraña de fronteras y de barreras. Y el mío solitario es el testigo mudo e inconsciente de mi serenata culpable.
¿Eres tú aquel amor que olvidó su ropa en mi habitación? Cuando no sé que hacer me visto de ti y mi imagen en los espejos es un pájaro mágico y me parece oir cantar.
Al primer golpe de tambor de mi insomnio, la mañana se llenó de la luna.
Ella bajaba del cielo y me miraba altiva como una vampiresa que va a yugularme con un beso fatal.
Algo debía tener la luna para atraerme así, y subirme con ella a la intensidad del espacio.
Sans contact
avec contact
privé de lumière
tout obscurci
je brûle
...
Je suis déraciné
de toute chose réelle
et je suis pendu au dessus
de moi-même
et la saveur de la vie
seule ma langue le lèche
on dira déjà
le plus intime de moi
avec contact
et sans contact
...
Solo y casi agonizante arbusto
en el monte aun, pero en lo seco del paramo,
qué interés puedo yo despertar en las cabritillas ?
Y no obstante una jovencita de ubres rosadas viene
ultimamente a comerme los pocos brotes que yo doy,
mi savia pulsa desde el fondo de la raiz, intentando
sacarle a la arena turbia algo de mojado beso o sentimiento.
...
Del perfil de la Virgen nada se ha dicho
es un capricho que escapa a lo humano
su sonrisa favorable y su parpadeo limpio de gacela
en esta vida oscura y esta muerte difusa no los vemos
sino rara vez, menos aun su perfil quimérico...
el perfil que nos encanta es superior al cielo,
profundo abismo de nuestra sangre que cae en cascada
el perfil de la mujer elegida es unico como el violin de Paganini
...
No son palabras los suspiros del viento
ni discursos los sexos unidos
no son viento
no son suspiros siquiera los crujidos
del corazon casi muerto
son Verbo, son el Logos, el primer pensamiento
...
Dicen que la herida del soldado es bella
porque es una amapola que hemos olvidado
porque el labriego y el orfebre han ganado dinero
con el humo de las pistolas y de los fumaderos de loto
y yo digo que me falta la medicina para la guerra de mi sangre escondida
que se mira en el espejo y llora
...
las jovencitas que me arreglaron los dientes
se tendian casi sobre mi, bromeando
como si yo fuese inofensivo y porque quizas lo soy
esa es mi unica alegria triste cuando pienso en sus bromas y sus risas, utensilios en mano
y dientes jovenes y palabras para llenar una cabeza de solitario
...
He conocido los llantos orgasmicos y los susurros
que otros en menos pobre camastro han gozado
donde yo compartia una fruta y un beso en el ano
habia habido talones de joyeria y vestimenta de latex
donde yo pedia un hijo otros pidieron mas y mas
y sin embargo no con poco me he contentado
...
Madame, Mademoiselle, voici ma maison
un garage et un sac de couchage, un convertible
pour des gymnastiques propres au Tibet sur cuir blanc
et un Maëlstrom de paperasse
au Tibet de Kerouac je veux dire
...Volvamos a la mística persa, a Hafiz, o ahora a Rumi :
Fue alegre ese instante, tú y yo nos sentamos, diferentes por la forma de las manos, los ojos distintos y cada rostro que tenemos
Pero tenemos el mismo fondo, los colores del parque
y los jilgueros de otros tiempos a nuestro alrededor, el canto de las flores anuncia nuestra inmortalidad.
A esa hora iremos juntos al parque, fuego negro, silencio del día... las estrellas del cielo vendrán a mirarnos.
Les enseñaremos el eterno femenino de la Luna, y su luz, tú y yo.
Los dos, liberados el uno del otro y de nosotros mismos, estaremos unidos en el gozo, el éxtasis alegre donde ninguna palabra está de sobra.
Los pájaros celestiales tendrán envidia del suelo que nuestros cuerpos vuelven remolino caliente del otoño, porcelana cruda en la cantera será pura la envidia del ángel.
¡Cómo vamos a reirnos los dos, en ese sitio, tan a gusto! Pero el colmo es que en un mismo nido de amor, tu cuerpo está al otro lado de una maraña de fronteras y de barreras. Y el mío solitario es el testigo mudo e inconsciente de mi serenata culpable.
¿Eres tú aquel amor que olvidó su ropa en mi habitación? Cuando no sé que hacer me visto de ti y mi imagen en los espejos es un pájaro mágico y me parece oir cantar.
Al primer golpe de tambor de mi insomnio, la mañana se llenó de la luna.
Ella bajaba del cielo y me miraba altiva como una vampiresa que va a yugularme con un beso fatal.
Algo debía tener la luna para atraerme así, y subirme con ella a la intensidad del espacio.
Sans contact
avec contact
privé de lumière
tout obscurci
je brûle
...
Je suis déraciné
de toute chose réelle
et je suis pendu au dessus
de moi-même
et la saveur de la vie
seule ma langue le lèche
on dira déjà
le plus intime de moi
avec contact
et sans contact
...
Solo y casi agonizante arbusto
en el monte aun, pero en lo seco del paramo,
qué interés puedo yo despertar en las cabritillas ?
Y no obstante una jovencita de ubres rosadas viene
ultimamente a comerme los pocos brotes que yo doy,
mi savia pulsa desde el fondo de la raiz, intentando
sacarle a la arena turbia algo de mojado beso o sentimiento.
...
Del perfil de la Virgen nada se ha dicho
es un capricho que escapa a lo humano
su sonrisa favorable y su parpadeo limpio de gacela
en esta vida oscura y esta muerte difusa no los vemos
sino rara vez, menos aun su perfil quimérico...
el perfil que nos encanta es superior al cielo,
profundo abismo de nuestra sangre que cae en cascada
el perfil de la mujer elegida es unico como el violin de Paganini
...
No son palabras los suspiros del viento
ni discursos los sexos unidos
no son viento
no son suspiros siquiera los crujidos
del corazon casi muerto
son Verbo, son el Logos, el primer pensamiento
...
Dicen que la herida del soldado es bella
porque es una amapola que hemos olvidado
porque el labriego y el orfebre han ganado dinero
con el humo de las pistolas y de los fumaderos de loto
y yo digo que me falta la medicina para la guerra de mi sangre escondida
que se mira en el espejo y llora
...
las jovencitas que me arreglaron los dientes
se tendian casi sobre mi, bromeando
como si yo fuese inofensivo y porque quizas lo soy
esa es mi unica alegria triste cuando pienso en sus bromas y sus risas, utensilios en mano
y dientes jovenes y palabras para llenar una cabeza de solitario
...
He conocido los llantos orgasmicos y los susurros
que otros en menos pobre camastro han gozado
donde yo compartia una fruta y un beso en el ano
habia habido talones de joyeria y vestimenta de latex
donde yo pedia un hijo otros pidieron mas y mas
y sin embargo no con poco me he contentado
...
Libellés :
chorégraphie,
littérature (espagnol)
mardi 1 janvier 2013
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