lundi 30 avril 2012
libre traduccion de una estrofa de Shelley
Diez veces la Madre de los Meses ha estirado
su arco junto a la estrella del misterio, y votado
con ese signo brillante para puntuar el oleaje
que deserta de la arena - como chavales los minutos
reprendidos, a su mando siempre se nos van y se nos vienen -
hasta que en esta gruta un tenue esplendor de interior
tomara la forma y los gestos; se caldea la habitacion
con el Poder corporeo; forma viviente que me esta leyendo.
...
su arco junto a la estrella del misterio, y votado
con ese signo brillante para puntuar el oleaje
que deserta de la arena - como chavales los minutos
reprendidos, a su mando siempre se nos van y se nos vienen -
hasta que en esta gruta un tenue esplendor de interior
tomara la forma y los gestos; se caldea la habitacion
con el Poder corporeo; forma viviente que me esta leyendo.
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dimanche 29 avril 2012
samedi 28 avril 2012
mercredi 25 avril 2012
le livre du visage
...
La pitié que vous avez manifesté envers moi
n'est rien de celle qui demandent
les femmes auxquelles j'ai eu souvent
à faire, en même temps lecteur
et témoin dans l'amour ou la fraternelle
séduction (sexuelle parfois)
Comme quoi vous sériez cet ange
cette colombe portant un livre
et sur le livre un visage
qui n'est pas le votre
mais un voile percé par le regard
d'un démonique regard
d'une regardeuse sous-annêsse
tendresse et violence à la naissance du beau...
juste signifier cela amicalement,
du fait que je doute souvent
qu'on assume ma biographie toute en longueur,
quand on se souvienne de moi
...
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mardi 24 avril 2012
dimanche 22 avril 2012
samedi 21 avril 2012
comic
atacar a la Corona es distraer la atencion de los verdaderos problemas politicos y suelen ser los trepas mas mezquinos los que se apasionan con ese tema
claro, porque hay que tener el tiempo libre de un funcionario para leer tanta prensa rosa y para escandalizarse
no son los pobres los que se escandalizan por el lujo de la aristocracia, sino los burgueses
claro, porque hay que tener el tiempo libre de un funcionario para leer tanta prensa rosa y para escandalizarse
no son los pobres los que se escandalizan por el lujo de la aristocracia, sino los burgueses
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vendredi 20 avril 2012
jeudi 19 avril 2012
question et réponse (critique de Moleskine de Rip chez Léo Scheer Editions)
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Cécile Delalandre : Coucou Manu! comment va? est-ce que tu as commencé à écrire un retour de lecture de Moleskine? Perso je me suis engagée auprès de Rip à l'écrire mais j'ai un mal fou! pas facile!
Manuel Montero : Désolé, la couverture est dégueulase et le papier et les caractères d'imprimerie (rien à voir en tant qu'objet, ce livre de gare, avec le cachet d'un moleskine) ne donnent pas envie de lire, je préfère garder le bon souvenir de ce que rip me racontait de son roman, je garde le livre juste comme une pièce à conviction de ce charme oral.
Avec en plus un prix (presque 20 euros, tu t'achètes plusieurs trucs Pléiade chez les bouquinistes de la Seine, tu sais ? me disait une amie ) plus propre au livre d'art qu'à un bouquin jetable pour ados qu'on nous présente visiblement.
La subtilité de Florent Georgesco pour investir l'avant-gardisme à faire des merdes reste pour moi difficile à saisir. Rip voulait que je peigne une image pour sa couverture et toujours l'excuse c'était : Florent ne branche pas, ce qui me donnait l'arrière goût de travailler avec des gens vraiment malpropres. Une avant-garde quelconque est d'abord aristocratique et leur cas est plus proche de la pure incompétence que d'autre chose. Il est impossible de charcuter comme ça un journal carcéral, pour ce qui est du respect pour l'écriture, et de faire passer cette bêtise pour de la classe. En tout cas, je ne peux écrire quoi que ce soit sur un tel mal-à-propos.
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Cécile Delalandre : Coucou Manu! comment va? est-ce que tu as commencé à écrire un retour de lecture de Moleskine? Perso je me suis engagée auprès de Rip à l'écrire mais j'ai un mal fou! pas facile!
Manuel Montero : Désolé, la couverture est dégueulase et le papier et les caractères d'imprimerie (rien à voir en tant qu'objet, ce livre de gare, avec le cachet d'un moleskine) ne donnent pas envie de lire, je préfère garder le bon souvenir de ce que rip me racontait de son roman, je garde le livre juste comme une pièce à conviction de ce charme oral.
Avec en plus un prix (presque 20 euros, tu t'achètes plusieurs trucs Pléiade chez les bouquinistes de la Seine, tu sais ? me disait une amie ) plus propre au livre d'art qu'à un bouquin jetable pour ados qu'on nous présente visiblement.
La subtilité de Florent Georgesco pour investir l'avant-gardisme à faire des merdes reste pour moi difficile à saisir. Rip voulait que je peigne une image pour sa couverture et toujours l'excuse c'était : Florent ne branche pas, ce qui me donnait l'arrière goût de travailler avec des gens vraiment malpropres. Une avant-garde quelconque est d'abord aristocratique et leur cas est plus proche de la pure incompétence que d'autre chose. Il est impossible de charcuter comme ça un journal carcéral, pour ce qui est du respect pour l'écriture, et de faire passer cette bêtise pour de la classe. En tout cas, je ne peux écrire quoi que ce soit sur un tel mal-à-propos.
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compte rendu (français)
mardi 17 avril 2012
entre poème et tableau
...
signe musical pour l'oubli
la calligraphie du phallus infini est dans la langue
le maquereau en boîte et le vide
...
Tes lèvres sont affinées comme celles
de qui parle poli. Et le pourpre
du vin leur dessine des fils teintés
ou la gouttelette d'une petite virgule
qui nous est rendue aimable, et qui signale
la pause d'une suave distraction.
...
lundi 16 avril 2012
dimanche 15 avril 2012
Olimpia
Elle précipita la chute d'un cardinal, en éleva un autre, évita aux Etats de l'Eglise une guerre ruineuse et sans honneur.
Olimpia, Céline Minard
Sarra M. contemplait mes livres, quelques-un d'entre eux dans la moisissure due à une inondation. Elle souleva un volume isolé de l'Esthétique de Hegel, puis la très abîmée Correspondance de Lawrence Durrell et Henry Miller, qui à part l'importante ondulation était mouchetée de champignons noirs et blancs. J'en entendis bien qu'elle pondéra pour très probable qu'en fin de comptes je ne lirai la plupart des livres, ou du moins Hegel et cette Correspondance. Elle se rendit à l'évidence que l'usage que j'en ferais de leur présence serait celui propre à un quelconque "fétiche", qu'on veuille le lire psychologiquement ou magiquement. Ainsi me lança-t-elle la formule de pensée, non sans une délicate langueur. Le fétichisme du livre n'est pas nouveau pour une personne polie. Les livres des auteurs français qui pourraient le plus correspondre à ma génération n'en sont moins l'objet d'un tel usage. Ainsi l'on peut dire qu'il y a eu et aura une Céline Minard (ou une Alexandra Varrin) fermée et une Céline Minard (ou une Alexandra Varrin) ouverte. Tout comme pour les livres de l'Apocalypse. Qui d'ailleurs pourrait se lire en tant que prophétie du geste quotidien, ici.
samedi 14 avril 2012
Reportage sur l'Union avec Dieu /
Reportage sur l'Union avec Dieu /
voici la nonne, l'humiliée et bandante épouse de Dieu
voici le père confesseur de son choix, encore plus masochiste
voici des moments de ce que Madame l'épouse de Dieu appelle :
Communication (avec langage angélique entre elle et son confesseur)
qui se fait avec forte fatigue et dénudés les corps de leur enveloppe
avec un contact mystique des coeurs et des langues angéliques
la cire chaude coule sur le corps mortifié de la sainte
elle appelle l'époux qui lui raccroche au nez
elle laisse des messages sur l'oreille de Denise
flippent les garces du septième ciel
qui n'ont rien entendu d'une mortelle esclave du Destin
qui puisse pisser l'or d'amour qui coule sur elles
et qu'elles croyaient oeuvre facile d'une hypostase virile
seule dans la Trinité, la queue exposée au secret de l'Eglise
et la nonne se fait arracher la bonne dent et laisse la dent pourrie pour bijou oral
et puis elle rêve à la vue de tous qu'elle couche avec le Christ
tandis que la Mère de Dieu reste à côté dans un lit séparé à les observer
oeuvre d'une démarche charismatique, la poésie
ainsi définis-je ce que la nonne dégage, et je témoigne de sa sainteté
puisse l'anachronisme nous remettre à une lignée messianique au féminin
puisse ce reportage dépasser le simple journalisme du poète
le canular implicite à toute masculinité du dévot
faisant de moi, par la subtile castration, un initié ou circoncis
et puisse l'amour de Dieu délivrer de la collante ironie la Vérité
de mon Evangile personnel et intime offert aux impies comme aux plus nécessités
le trouble jeté par ces deux étranges prophètes
dans le couvent des Ursulines et dans toute la région parisienne
je vois la nonne à mon tour et je trouve une telle jouissance à l'humiliation
d'abord subie puis infligée
au nom du Christ
que je m'autorise d'aimer la Vierge
la Nouvelle Eve qui selon la Genèse met la courbe du pied sur le serpent
et dont le sexe est le lieu de l'extase, pour vous le dire tel quel
à présent que je peux cracher sur le masque du péché
à présent que la solitude et l'union expriment la même joie
dans l'oracle, dans le mariage mystique multiple
qui ne peut être reporté qu'à titre d'exception
mais qui est voué à devenir universel
et s'inscrire dans la nébuleuse de la plénitude, foutre de Dieu
tel je dis m'unissant à l'orgasme de ce confesseur choisi que j'ai été
et dont me délivre la Vierge, et la volonté tenace de ma verge de Mercure
curé je suis pour l'amour de Dieu et la poésie reçue
de toute une lignée messianique au féminin
que ce soit dans la correspondance ou dans la communication
ou dans la copulation angélique et le feu de la chair
moyen ce dernier le plus efficace et miroir des deux autres
multipliés selon les climax et les coups mystiques
pulsation cardiaque de Dieu qu'une main a introduit dans tous mes pores
par une sorte de contamination enivrante du sorcier et Biondetta
ou la nonne elle même, ou bien la Vierge, si perdu fus-je
et si entêté à tout vous raconter, au risque d'être confus
et vous perplexes et peut-être touchés ou encore attouchementés
tourment auquel je voudrais soumettre l'humanité
à travers mon reportage enthousiaste et l'orgie poétique des vers
et de la pourriture qui nous est consubstantielle
mais qui nous rend fils prodigues sortis envers leur demeure d'entre les ordures
aimés dans la misère et la damnation dédoublée, décuplée
de nos nourritures impures, de l'animal sauvage et bien cambré
ou spiral dans ce qui est du phallus, le porc rédempteur
Il faut que le désordre ait été grave
pour que plusieurs années après l'évêque de Genève
ai pu écrire au sujet quelque chose qui sera comme il s'en suit :
Au nom de Dieu, obtenez... que le père Montero...
qu'on ne le renvoie point dans mon diocèse...
Si ce Père apparaît ici...
la moitié du Chablais est perdue.
ainsi dira l'évêque, soyez sûrs, mais apostates pour le mensonge, encore plus sûrs
encore plus sûrs, mes frères et soeurs, puisque je vous vois pas
et vous pouvez sucer en silence le nectar spirituel
d'une indiscrétion d'art, d'un blasphème sacré
d'un baiser d'ange, d'un rien de poussière
qui ne daigne même pas l'oreille du pauvre
le narval peut traverser les ténèbres soyeuses de la Mère
le télégramme dans la balance d'or se met à parler
le chacal habite le musée et les Champs Elysées
Saint Antoine boit la coupe sur un éléphant aux pattes de mouche
l'envie devient divine demeure qui s'installe dans l'air
la chanson des chérubins est rythmique et folle
l'on abandonne la nonne dans l'étude du souvenir
Dieu est un soupir et la stupeur d'oubli
ainsi est l'amour, comme une bouche presque édentée
qui est la mienne et celle d'une autre femme
ainsi est l'amour, comme les doigts qui sont habités de frénésie
par l'écriture et par ce qui tambourine sur la vulve
ou bien dans l'aine masculine les ongles en 69
apocalyptique film d'une capote, souffrance d'autrui pour l'ange
interdit du Pape, ressort qui joue le sort
si surdité vaginale et banale ne soumet pas le fouet d'un fort langage
au fondant de l'amour et au désordre des sens qui
annonce une vie dont s'ouvre l'horizon immortel
celle d'une femme, celle d'une femme sans doute, mais laquelle ?
laquelle, Manuel ?
laquelle, Manuel ?
...
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Teatro de Azufre
lundi 9 avril 2012
chevauchée des wallkyries
on fait miroiter les visages du Christ devant les imbéciles
on se marre et se drogue avec la prière au travail
...
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littérature (français)
jeudi 5 avril 2012
estudio de pareja con algo de impresionismo
...
He puesto la tela sobre los libros para olvidarla
la tela, por encima, sin tocarlos, para que los libros
los libros sepan decir algo en el olvido
...
La femme vint au sol contempler le lait répandu
elle compta faire de l'argile magique avec la terre allaitée
pour vendre et obtenir un pot à visages lunaires
c'étaient des tissus, c'étaient des tissus et reste un rêve
...
Marchait droite, marchait droite, l'âge des clichés
et ne se rendait compte que fleur avant vision est son
la langue dans la ligne et l'ombre est aidée des lèvres
et l'envol d'une odalisque dans le baiser d'une image
...
He visto la vulva de opio de tus ojos inteligentes y bellos
he evitado el insulto al cantar a la gacela
la vulva de flor de opio, blanca, blanca
...
He puesto la tela sobre los libros para olvidarla
la tela, por encima, sin tocarlos, para que los libros
los libros sepan decir algo en el olvido
...
La femme vint au sol contempler le lait répandu
elle compta faire de l'argile magique avec la terre allaitée
pour vendre et obtenir un pot à visages lunaires
c'étaient des tissus, c'étaient des tissus et reste un rêve
...
Marchait droite, marchait droite, l'âge des clichés
et ne se rendait compte que fleur avant vision est son
la langue dans la ligne et l'ombre est aidée des lèvres
et l'envol d'une odalisque dans le baiser d'une image
...
He visto la vulva de opio de tus ojos inteligentes y bellos
he evitado el insulto al cantar a la gacela
la vulva de flor de opio, blanca, blanca
...
mardi 3 avril 2012
spanish poetik revolution
...
Empuja con tu lengua de fango, fuego y sangre de montaña
el himen de la hora, el punto que se oxida más rápido
ten confianza solamente en la espada de oro que tu madre
desenrreda en la madreselva de su vientre juvenil y vuelve tú dentro
dale color
dale color
como la luz es amor en los cuerpos que se ven entre las cañas
entre las cañas de las flautas espontáneas del pánico y la sal
que goce sola la hora, que se solace al calor de la Luna
y de las uvas te abandone una
la lágrima del perro
...
El líquido hermafrodita matinal
el rocío del sueño y una apoteosis de claveles blancos
que no existen en la tierra mojada y pesada sino en forma de huella
la hermana y el hermano
bailando
bailando
mejor temprano para juntarnos
mejor con el alba cuando parecemos cisnes de cementerio
el criterio de ser dos en uno quede abierto
como el tambor cuando lo rompe Satán
...
cuando en las edades vuelvan los gamberros
seremos niños
y de sueño la telaraña
del placer violento del joven amor
...
todo en tu rostro o en rostro de otra
es especial, es obra del control de un maestro
busco tu sonrisa
entre mi desorden solitario
ya no te pertenezco
lloro
lloro
sin estar seguro de salir del apuro
todo esto me ha purificado ¿entiendes?
¿entiendes?
¿entiendes?
sólo de perfil está el recuerdo escuchando mis susurros
nadie sino el recuerdo escucha
...
Quisiera entender el que está vestido de soldado
y mastica patata, y su boca es capaz de herir
y por qué ya todos hablamos igual y parece acabarse el tiempo
sin que nadie se dé prisa en pasarse
todo era rápido
todo era rápido entonces,
en la infancia del soldado, en la muerte de mármol sensual
de una Pietá pulida y atacada por los locos
...
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dimanche 1 avril 2012
traduit de l'Orlando Furioso
...
L'odor ch'è sparso in ben notrita e bella
o chioma o barba o delicata vesta
di giovane leggiadro o di donzella,
ch'Amor sovente lacrimando desta,
se spira e fa sentir di sé novella,
e dopo molti giorni ancora resta,
mostra con chiaro et evidente effetto,
come a principio buono era e perfetto.
(Ariosto)
L'odeur que je sens m'inclinant sur ta tête
épars dans tes noires tresses imbibées de larmes
de larmes d'amour qui restent des jours
où tout était parfait et tu croyais à ma bonté.
L'odor ch'è sparso in ben notrita e bella
o chioma o barba o delicata vesta
di giovane leggiadro o di donzella,
ch'Amor sovente lacrimando desta,
se spira e fa sentir di sé novella,
e dopo molti giorni ancora resta,
mostra con chiaro et evidente effetto,
come a principio buono era e perfetto.
(Ariosto)
L'odeur que je sens m'inclinant sur ta tête
épars dans tes noires tresses imbibées de larmes
de larmes d'amour qui restent des jours
où tout était parfait et tu croyais à ma bonté.
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littérature (français)
l'argent nous fait flasher
This is a southern bull-fighter gesture very common in Granada
same for the eye-lids
and the double vision
l'agente littéraire Raquel de la Concha avait rigolé quand j'avais vingt ans sur ce que je cachais toujours mon oeil droit en faisant balancer les lunettes
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